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The Pledge Ceremony

I DO !

Ma lettre d'acceptation dans le pledgship

Aujourd’hui avait lieu une cérémonie dédiée aux individus ayant été sélectionnés pour faire partie du processus d’intégration à la fraternité Delta Sigma Pi. Il s’agit de la « pledge ceremony » après avoir été accepté dans le Pledgship. (ci-contre la lettre officielle)

Vocabulaire: Pledgeship: processus d’intégration / Brother: membre de la fraternité / Big brother: parrain ou marraine / Pledge: membre en cours d’intégration pour devenir un brother
 

Cette expérience fut exceptionnelle:  J’étais assise dans une salle avec les autres pledges. Les membres étaient assis en face de nous et nous devions garder le silence. Voici trois choses auxquelles j’ai pensé une fois assise sur ma chaise :

1. Me répéter que non, ce n’est pas une cérémonie d’initiation à une secte: je sais ce que vous pensez mais je vous assure, n’ayant jamais vécu quelque chose du genre, c’est la première chose qui m’est venue à l’esprit. Entre les candélabres et la salle plongée dans le noir, je me suis juste demandée « suis-je au bon endroit ? » Rassurez-vous, cette pensée a vite quitté mon esprit !

2. Ne ris pas:  je pense bien entendu à un rire nerveux qu’il peut m’arriver d’avoir dans des situations inadaptées. Le genre de fou rire que je ne peux bien évidemment pas stopper. Ce n’était pas à cause des gens ou de la salle mais juste à cause du silence et de l’enjeu !

3. Cherche une bonne position: tous les yeux sont fixés sur vous. Est-ce que mon rouge-à-lèvres dépasse ? Est-ce que ma braguette est ouverte ? Tant de questions vous assaillent et vous ne pensez qu’à une chose : combien de temps vais-je rester assise ici avec mon stress comme seul compagnon ?

Heureusement le discours du président a changé la donne : je me suis rendue compte du sérieux de la cérémonie et du côté professionnel bien mis en avant. J’ai arrêté d’avoir peur pour rien. Cette cérémonie fut impressionnante et solennelle. Je me m’étais concentrée et je m’étais vite imprégnée de l’ambiance de la salle. Vers la fin, le président de la fraternité s’est levé et nous a accroché un pins, symbole de notre engagement dans la fraternité. Tous les « brothers » nous ont ensuite tous serré la main en nous félicitant. Finalement, j’étais vraiment très heureuse d’être là et de pouvoir saluer toutes les personnes !

Nous avons ensuite eu une « pledge class« . Kayla est la « pledge educator » c’est-à-dire qu’elle nous encadre et va nous aider pour devenir un vrai brother à part entière. Elle nous a distribué un dossier Delta Sigma Pi pour nous expliquer le processus. 6 semaines seront nécessaires avec chaque semaine un quizz à passer pour devenir un brother. L’initiation finale aura lieu au début du mois de novembre.

 Une fraternité c’est:

- Des social events: des évènements où les membres se retrouvent autour de pizzas gratuites, de parties de kickball/volley ball ou encore tout simplement autour d’un verre dans un bar.

- Des professionnal events: chaque dimanche je vais devoir passer un quizz et le réussir pour passer aux étapes suivantes. Je dois aussi assister aux meetings. Heureusement, ces réunions sont intéressantes et conviviales. J’ai quand même un peu peur de ne pas tout comprendre…

- Une bonne ambiance: les anciens essaient de vous intégrer ce qui est plutôt cool. Il y a des étudiants internationaux (j’ai rencontré un allemand, des chinois, japonais…) et des étudiants américains.

- Du travail avec l’organisation d’un évènement pour devenir un membre à part entière. Chaque quizz demande assiduité et travail. J’ai déjà commencé le mien !

Let’s do it !

Etre expatrié, c’est parfois difficile.

Tout le monde vous le dira : l’année à l’étranger sera extrêmement enrichissante et souvent le meilleur souvenir de vos années d’études. Je ne suis pas ici pour casser le mythe mais juste pour parler aussi des « mauvais » côtés si l’on peut appeler cela comme ça.

Lorsque l’on me demande comment ça va, je dis ce qu’il en est  « oui » « non » mais généralement la réponse de mes amis/famille en France est la même : « Mais profite tu ne peux qu’être bien, tu es aux States ! » Et oui, je connais ma chance et j’en suis consciente. Cependant, j’ai remarqué que bien des blogs d’expatriés vendent du rêve alors que ce n’est pas toujours rose lorsque l’on est expatrié. Cela dépend de votre maturité, de vos attaches etc mais il arrive bien un moment où vous ressentez quelques coups de blues.

Je suis très heureuse d’être ici : mes colocataires sont géniales, mes cours intéressants et enrichissants, la ville agréable, le temps au top, je ne m’ennuie pas et je vis l’expérience certainement la plus exceptionnelle de ma vie. Je dois malgré tout dire que oui, il faut être prêt pour partir loin à laisser sa famille, ses amis et parfois laisser son petit ami. Rien n’est simple, il faut faire des choix le plus souvent égoïstes. Internet est là pour calmer le manque heureusement : Skype, Viber, Whatsapps ou encore Facebook. Vivre à l’étranger c’est 100% d’aventure mais les coups de blues en feront aussi partie !

Cette décision mûrement réfléchie de partir reste une expérience enrichissante pour chacun d’entre nous (en bien ou en mal!). Je pense qu’il faut prendre en considération que oui, votre famille vous manquera ainsi que vos amis, votre copain/copine. C’est mon cas : gérer la séparation peut sembler facile aux Etats-Unis mais n’oubliez pas que là-bas, vous aurez aussi un quotidien, des cours, des devoirs… Vous n’êtes pas en road trip ! (pas encore si je peux dire). J’ai mon premier coup de blues après un mois sur place. Heureusement je peux compter sur mes colocataires pour me remonter le moral. Il y a des jours où vous compterez les semaines restantes et d’autres où tout ira bien et où, pour rien au monde, vous ne voudrez rentrer. La France peut aussi vous manquer (le fromage, le bon pain) et vous aurez droit à un bon mal du pays !

Pour finir, n’oubliez pas qu’une expatriation ne doit pas se faire sous contraintes. Pour ma part, j’ai choisi de partir loin et je le vis pleinement. J’écris cet article de manière la plus honnête possible. L’American Dream n’est pas à tous les coins de rue (j’ai de la chance mais voici quelques anecdotes rencontrées ici par certaines de mes connaissances) : le/la colocataire insupportable et irrespectueux, l’appartement dégoûtant, les difficultés de vivre avec ses colocs d’une autre culture -indienne, japonaise, coréenne, américaine…- l’incompréhension en cours…)  C’est d’ailleurs une de mes peurs actuelles : réussir mes cours. Je vous en dirai plus dans un prochain article ! En attendant, il était important pour moi de vous montrer l’envers du décor de rêve, de révéler les faiblesses potentielles d’un étudiant expatrié et de vous dire: c’est NORMAL ! 

My two roommates

Mes deux colocs et moi

I remember that Yoann asked me to write an article in english. Now to be completely honest with you all, I am not sure this article will be good.  Howewer, I am excited to introduce you my two roommates.

De gauche à droite : Brittni, Maria, Moi

The first one is named Maria, she is 21. She comes from Mexico and she studies Marketing at Kelley School of Business  like me ! She is member of a professional fraternity (Delta Sigma Pi). She likes watching movies, cooking (she is a good cook… mexican food of course !) and squirrels ! Moreover, Maria is also very pretty.

Now, I am going to talk about Brittni. 21 too, she is an amazing runner but I do not usually like sports… Howewer she convinced me to register to the Fitness and Zumba activities  for the next semester. She studies Physical Therapy. You can easily recognize her with her red hair ! Brittni represents the american country side and she knows Indianapolis very well… I am lucky to know her. She is very generous and funny.

I believe I could not have better roommates. They are really nice and help me for everything I need to do. To me, Americans are very helpful, and I have to admit it is not always the same in France. I really enjoy being here !

 

Installation finie !

Venir aux Etats-Unis implique uniquement 23 kilos dans une valise. Impossible donc d’apporter toutes vos affaires. J’ai dû faire du tri également. Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas faire vos courses à pied. Ou alors vous allez devoir marcher ! La voiture est le plus pratique. Ma liste était simple : matelas, nourriture, produits de toilettes, téléphone portable.

Mes colocataires, adorables, m’ont conduite dans un magasin avec des matelas à -70%. J’ai donc eu un matelas très confortable pour 105$. Ensuite j’ai acheté nourriture et produits de toilettes. Les prix sont moins élevés qu’en France. Dites adieu aux fromages roquefort, camembert.. Vous trouverez des sachets de fromage râpé de toutes sortes ! J’ai ainsi acheté quelques produits français, un peu de produits américain (des boites toutes prêtes). C’est très simple de trouver de quoi faire à manger et vous pouvez trouver des produits de toutes tailles. Tout cela coûte 51$ soit environ 40/45 euros. Cela reste raisonnable. Aux USA, les sachets plastiques sont donnés pour tout et n’importe quoi, pas très utile pour l’environnement !

J’ai acheté mon téléphone chez Virgin Mobil aux USA. J’ai pris un Samsung Galaxy Ring  (179 $) avec un forfait à 35$. Internet, messages illimités et 300 minutes d’appel. En effet, j’utilise Viber et Whatsapps, des applications, pour communiquer gratuitement en France (appels et sms). Si vous prenez votre téléphone français et que vous voulez internet illimité, vous devrez payer 70$ par mois. Sur l’année, vous y perdez ! Je pourrai ainsi revendre mon téléphone américain à la fin de l’année.

Même si nous sommes dans une grosse ville américaine, la vie est tout de même agréable avec le canal d’Indianapolis. Je marche tous les jours pour visiter la ville environ 1h ou 2h, je vous ferai bientôt un article sur la ville d’Indianapolis ! Je vais débuter ma semaine d’orientation dès demain ! A bientôt ! :)

Arrivée aux Etats-Unis

Liste des départs

Ma journée du 8 août 2013 a commencé sur les chapeaux de roue. Départ à 7h, arrivée à 8h à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle au terminal 2E. J’ai récupéré mes changes (je l’ai fait sur internet ce qui permet d’éviter des frais supplémentaires et de juste retirer son argent). Ensuite, enregistrement des bagages, et hop direction la porte d’embarquement. Il faut savoir que je n’ai pas eu de problèmes administratifs, tout est très bien organisé dans les aéroports et il y a toujours quelqu’un pour nous orienter.

Panneaux
Le principal problème était que je hais les avions. J’ai une frousse inimaginable (tout simplement parce que je ne comprends pas vraiment comment fonctionne un engin comme celui-là.) Résultat : deux avions en une journée, j’ai eu ma dose ! 9h au total avec une escale à Détroit. Ce qui m’a marqué ? Là bas, on vous passe entièrement aux rayons lors du passage douanier dans une cabine. Vous enlevez même vos chaussures.

L’arrivée à Indianapolis s’est déroulée normalement : valise au rendez-vous, mes colocataires m’attendaient avec un beau panneau « WELCOME HELENE ! ». Elles m’ont ensuite emmenée vers le centre-ville, à 15 minutes en voiture de l’aéroport. Je n’ai pas eu le temps de trop visiter mais pour le moment tout se passe bien !

Vue sur le centre ville

 

 

Le départ approche : J-10

Le temps passe vraiment trop vite… Vous vous êtes surement déjà dit cette phrase. Personnellement, je me la répète tous les jours. Ma valise est loin d’être prête, d’ailleurs elle n’est même pas commencée mais je commence à me demander : comment faire rentrer sa vie dans une valise ? Le choix des vêtements va être difficile car je ne dois pas dépasser les 23kg. Je sens que je vais devoir faire le tri dans toutes mes trousses de maquillage et mes vernis à ongles. Lire la suite

La ville de Strasbourg, idéale pour les études

Entrer en école de commerce, ce n’est pas seulement être dans une nouvelle école. C’est un tout nouvel univers coupé du monde que l’on connaissait. Beaucoup de changements donc… mais des changements très positifs ! Je dois avouer qu’après un peu plus d’un mois en école, je suis très satisfaite et que je n’ai pas de regrets.

La vie à Strasbourg est vraiment très agréable. Certes, le froid commence à arriver mais la ville est splendide, verdoyante et animée. Etant située dans le quartier Esplanade, je suis en plein dans le quartier des étudiants. Habiter à 10 minutes à pied de l’école a aussi ses avantages notamment aux retours des soirées (chaque jeudi, l’école anime vos soirées !)

Strasbourg est connue pour sa magnifique cathédrale (enfin, cela dépend des goûts de chacun) avec sa couleur spécifique et son unique clocher. Mais l’architecture de la ville est vraiment plaisante : je pense que c’est le cas en Alsace. Venant de Paris, je vois vraiment une grosse différence sur la qualité de vie. Le tramway est loin d’être dérangeant et se fond dans le paysage. Un métro à ciel ouvert silencieux. J’ai passé trois ans de scolarité sur Paris : les individus sont plus sympathiques et ouverts à Strasbourg mais surtout… la vie est beaucoup moins chère !

Photos de Pauline Stivala.

Il suffit de comparer un restaurant assez apprécié des étudiants : le Flam’s. Cette enseigne (avec plusieurs restaurants en France) propose des flammekueches, spécialité de l’Alsace. Il s’agit d’une tarte flambée avec crème fraiche, lardons, oignons… (et parfois gratinée, miam !) Pour 12 euros, vous avez la formule à volonté. Idéal pour les groupes ! C’est d’ailleurs ce qui a été organisé par ma classe. (en effet les étudiants sont par groupe pour les cours en TD, c’est-à-dire en classe).

J’apprécie également le fait que tout est à proximité. A 10 minutes en tramway, je rejoins le centre ville et à 100m de chez moi je trouve un simply market, pharmacie et boulangerie. Par ailleurs, le grand centre commercial avec le cinéma UGC est accessible à une station de tram. (Abonnement tramway à 22 euros par mois.) Je n’ai pas eu le temps de visiter toute la ville de Strasbourg mais on a également la possibilité de faire Strasbourg en bateau (« Batorama », ne dites pas ce mot à un ancien admisseur, ils connaissent par cœur… en effet, durant la campagne admissibles, les étudiants peuvent choisir de visiter Strasbourg en bateau et les admisseurs les accompagnent)

Cependant, je dois reconnaître que Paris me manque pour son ambiance très agitée. Il existe surement un « stress positif » qui me manque ici. Je tiens également à préciser que je suis quelqu’un qui n’aime pas être seule mais que je me fais très bien à la vie ici. Petit ami, copines, famille, rien ne m’empêche de les faire venir ou de revenir de temps en temps sur la région parisienne… sauf le budget certes je vous l’accorde, mais la vie strasbourgeoise est agréable et animée. On ne s’ennuie pas et les étudiants, quasiment tous nouveaux sur la ville, font tout pour se retrouver et faire connaissance.

Je pense vraiment que c’est une excellente ville pour faire ses études avec sa proximité avec l’Allemagne et sa culture régionale à découvrir. Moi qui avait peur de quitter Paris et sa région (étant née là-bas) je pense avoir choisi une ville idéale pour étudier et m’épanouir. J’avais pourtant vraiment peur… Je suis aussi très enthousiaste à l’idée de me rendre à Europa Park, LE parc d’attraction situé en Allemagne pour pouvoir profiter et m’amuser ! Il est situé à 1h de Strasbourg en bus ! Moi qui aime les parcs de loisirs, je suis servie :)

Une école fidèle aux valeurs promues lors de la campagne admissibles

Plus les jours passent, plus je me dis que j’ai fait le bon choix concernant mon choix d’école.

Les étudiants de l’EM Strasbourg sont très présents sur les réseaux sociaux. Au-delà de leur gentillesse et patience à l’égard des nouveaux admis, ils créent pour les étudiants une véritable communauté. Le community manager actuel est présent pour la faire vivre ! Un étudiant vient d’être nommé community manager également, Yoann, et celui-ci n’hésite pas à créer des groupes pour la 87ème promotion de l’EMS et à instaurer un bon climat.

On ne se sent pas du tout lâcher dans la nature : les individus sont simples, les échanges sans aucun complexe. J’ai déjà discuté avec quelques personnes via ces réseaux : individus de prépa, de Passerelle 1 ou 2… Finalement, la différence n’est plus visible ! Chacun cherche à apprendre de l’autre. La promotion étant de petite taille, il me semble qu’il est plus aisé de faire connaissance et d’avoir une cohésion au sein du groupe.

Le dossier d’inscription est arrivé, en parallèle d’une inscription en ligne à effectuer. Même si ce fut laborieux, je fus bien orientée et j’ai pu le renvoyer. Le dossier est très complet et comporte, entre autres, une feuille de choix de parcours, de jobs étudiants et d’aides pour le financement.

- La feuille de choix de parcours : et oui ! Une des spécialités de l’EM Strasbourg est de proposer dès la 1ère année (1A) un parcours franco anglais et un parcours franco allemand. C’est à dire qu’une très grande partie des cours sont dispensés dans la langue choisie. Bien-sûr, c’est sélectif. En anglais, seuls 70 étudiants sont choisis parmi toute la promotion. En allemand, il semblerait que la demande soit beaucoup moins forte et que chacun, faisant de l’allemand et souhaitant intégrer le parcours, puisse le faire. J’ai postulé pour le parcours franco anglais. Nous sommes choisis selon notre classement au concours ainsi que nos notes écrit/oral d’anglais. J’ai 14.2/20 de moyenne en anglais pour une 98ème place au concours Passerelle 1. Il ne faut pas oublier les prépa qui sont aussi en lice mais selon les notes de leur propre concours.

- Les job étudiants : assez surprenant cette feuille puisque l’EM Strasbourg a des partenariats avec des magasins pour des postes sur l’année en CDI de 8 à 20h par semaine afin de financer ses études. Je ne l’ai pas rempli car je ne pense pas pouvoir assurer un travail en parallèle. J’ai déjà fait cela et c’était très éprouvant. Mais je pense que c’est une très bonne initiative de la part de l’école.

- Aides pour le financement : entre un prêt OSEO à 15 000 euros sans garant et des prêts avec caution jusqu’à 45 000 euros à taux très intéressants, il est tout à fait possible d’intégrer l’école. Pour les boursiers, il est également possible de financer une année avec l’année de césure et aussi de faire de l’apprentissage en dernière année. Le côté diversité est donc assuré :)

Je pars pour le mois d’Août en vacances ce qui expliquera mon absence. Je continuerai à vous raconter mon parcours dès que possible.

Concernant mon école, celle-ci va se moderniser dès la rentrée avec une nouvelle signalétique (logo etc).. J’ai hâte de pouvoir m’y rendre et de découvrir la ville de Strasbourg ainsi que l’école ! Je ne suis pas du tout déçue pour le moment.

La semaine d’intégration est établie du 3 au 9 septembre 2012… Tout est prêt pour passer une belle année !

A bientôt :)