Archives du mot-clé année

Stage en agence: une nouvelle aventure

Vous vous demandiez certainement où j’allais atterrir pour mon second stage de césure. Je dois avouer que cette recherche de stage n’a pas été des plus reposantes.

Dans un premier temps, je pense que si j’avais eu le choix, j’aurai demandé un stage de césure débutant en Juillet pour enchaîner avec un stage en Janvier. En effet, il y a beaucoup plus d’offres à cette période qu’en Mars. C’est un critère important car ces stages vous aident à construire votre parcours : accepter un stage par défaut n’est jamais bon.

Il s’est avéré que j’hésitais entre poursuivre chez un annonceur (une entreprise) ou aller en agence. Le travail en agence est réputé pour être intense mais cela ne me fait pas peur. Je souhaitais juste faire un choix cohérent avec mon parcours et réaliser un stage dans lequel j’apprendrai beaucoup de choses et où je pourrai mettre en avant mes compétences déjà acquises.

J’ai eu plusieurs entretiens avec notamment McDonald’s France, le groupe Krys ou Cleor. Cependant, j’ai trouvé mon stage par le biais du réseau professionnel Linkedin. Je connaissais une agence digitale appelée Isobar puisqu’elle avait réalisé l’application mobile Showroomprivé que j’utilise régulièrement. Ainsi, j’ai pris l’initiative de contacter un chef de projet qui a ensuite fait passer ma candidature. Après plusieurs entretiens pour cerner ma motivation et dans quel service je me sentirai le mieux, Isobar m’a fait une proposition que j’ai fini par accepter en tant que chef de projet junior.

Photo foursquare Vincent C
Photo foursquare Vincent C

Pourquoi ce stage ? Tout d’abord, la diversité des clients m’a convaincue d’accepter. Ensuite, j’ai vraiment eu un bon contact avec les chefs de projets et les directrices de pôle. Il faut savoir qu’un stage en agence est toujours très bien vu dans le monde du marketing. Cela permet d’être très polyvalent et de développer une solide expertise dans une domaine très précis.

Pour information, Isobar est une agence de marketing digital global du groupe Dentsu Aegis Network. Intégration 360, tel est le credo de l’agence ! je vais avoir l’occasion de travailler aux réponses des briefs des annonceurs, à la conception et production des projets dédiés aux clients et je serai également en contact avec les clients. Je travaillerai dans le Studio de l’agence, sur des projets dits de courte durée (3/4 mois). Je pense ainsi acquérir une forte adaptabilité et pouvoir développer mon expertise digitale.

Beaucoup de personnes autour de moi (chez Danone ou ailleurs) m’ont confirmé qu’un stage en agence est vraiment un atout pour compléter un profil.

Je n’hésiterai pas à vous raconter mon expérience en agence jusqu’à Août 2015 !

Si vous avez des questions, n’hésitez pas !

C’est la rentrée !

Je suis ravie de réécrire enfin pour mon blog que j’avais mis entre parenthèses pour l’été !

Ma rentrée s’est bien passée J’étais très impatiente de reprendre puisque cela fait 5 mois que j’ai obtenu ce stage. Nous avons eu le choix à l’EM Strasbourg : continuer en master 2 et donc obtenir son diplôme en 2015 ou s’orienter en année professionnalisante. Vous l’aurez compris, j’ai choisi la deuxième proposition. Entre temps, j’ai pu me reposer et profiter de mes vacances. Etant donné que je ne supporte pas de ne rien faire trop longtemps, c’est avec un grand enthousiasme que j’ai débuté cette expérience. J’avais tout de même une petite appréhension… Le stress fut de la partie en ce 1er septembre: j’avais rendez-vous au siège de Danone dès 9h30. Je vous raconterai dans un article prochain comment cela se déroule au sein de l’entreprise.

Rentrée

Photos Libres

Je n’ai pour le moment fait qu’effleurer les missions de mon stage c’est pourquoi je ne peux pas encore vous en parler. Je remplace une alternante qui va s’occuper de la passation dès la semaine prochaine. J’ai rencontré là bas le créateur du blog Advertising Times, David, alternant à Danone : si vous n’avez pas encore visité ce superbe blog sur la publicité, foncez !

Le blog reprendra un rythme plus lent que l’année dernière car je serai très occupée en raison de mon stage. A venir : des témoignages, des rétrospectives sur mon séjour aux USA (un peu de recul ne fait pas de mal !) et beaucoup d’autres articles…

Une idée d’article ? Contactez moi par ici

Retour en France: le bilan

Me voici de retour en France après cette année scolaire passée aux Etats-Unis. Le temps a filé si vite, plus vite que toute autre année. Je reviens donc avec un article qui sera un court bilan de ce que j’ai vécu. 
1920263_10152264934961468_1600898888_n

Cette expérience à l’international fut avant tout humaine. J’ai énormément appris sur moi-même et sur les autres.  A première vue, il semblerait que la culture ne soit pas si différente (pays occidental, développé…) Et pourtant ! En Indiana, les mœurs et les actes changent radicalement de la France.  Cela diffère d’un état à un autre donc je parlerai plus précisément de mon ressenti en Indiana, un état très conservateur. J’ai eu l’opportunité de réfléchir à ma spiritualité et aux religions en général puisque mes deux colocataires étaient très croyantes et pratiquantes. Je ne peux pas vraiment expliquer car cela reste une réflexion personnelle. Cependant, je peux vous assurer que j’ai pu voir des extrêmes. J’ai pu rencontrer des personnes de tout horizon, du monde entier (ma big était chinoise, ma colocataire était mexicaine, mes brothers étaient américains, indiens, pakistanais, indonésiens…) Ce fut un melting pot  très enrichissant. J’ai appris à mieux tolérer et à agir de manière plus sage et responsable. Il n’est pas question de jugement : curieuse de nature, je n’ai pas eu de problèmes à aller vers les autres. Je souhaitais seulement apprendre, apprendre… on ne cesse jamais d’apprendre sur les autres cultures. Personne ne s’est jamais vexé de mes questions.

J’ai moi-même répondu à quelques questions que les gens se posaient sur les français. J’essayais de ne pas généraliser mais souvent, je  n’avais pas le choix car les américains n’attendaient pas forcément une réponse très développée. La question la plus surprenante qui m’ait été posée fut « est-ce que les français prennent des douches ? » Bien entendu, il s’agit de ne pas se vexer lorsque ces questions fusent. Je prenais souvent cela de manière humoristique et je corrigeais ces préjugés (sortis de je ne sais où !)

Moi et ma big Yixin

Les américains semblaient à la fois curieux mais aussi indifférents à ma situation d’étrangère sur le campus : non seulement les étudiants internationaux sont très nombreux et donc il est commun d’en croiser mais il y a également un certain egocentrisme de leur part. C’est un gros paradoxe difficile à expliquer : parfois, ils sont très ouverts, très sympathiques, très généreux et très curieux. Puis le lendemain, vous croisez les mêmes personnes qui vous ignorent ou sont très froides. Je ne généralise pas, malgré tout c’était une impression fréquente ressentie sur le campus. Les vrais amitiés et relations sont difficiles à tisser car le temps court, je n’avais pas les mêmes habitudes que certains et par ailleurs, j’ai trouvé les contacts avec les américains souvent superficiels.

Je pourrais dire que cela définit mon ressenti global là-bas (excepté avec mes brothers, que j’ai beaucoup fréquenté et donc j’ai pu renforcer les liens avec eux). Les apparences sont très importantes : pour ne pas vous vexer ou blesser, ou en tout cas pour éviter un potentiel conflit, il est commun de refuser une sortie en s’inventant un évènement, un examen de dernière minute. Même si quelqu’un vous déteste, il se montrera toujours souriant et poli avec vous. Je n’étais pas franchement habituée puisque généralement, si je n’aime pas quelqu’un, la personne le sait. Je suis plutôt franche et directe mais toujours avec du tact.

P10500320

Parlons de l’aspect professionnel maintenant. Cette année m’a avant tout apportée de solides compétences en langue anglaise (écrites et orales). Je parle couramment l’anglais ce qui me fut très utile pour mes recherches de stage. Cela me servira certainement toute ma vie à condition que je l’entretienne ! De plus, les cours étaient très plaisants: les professeurs à l’écoute mettaient leur théorie en pratique via des études de cas, des travaux de groupe et des exemples concrets. Je m’ennuyais rarement en cours puisque je prenais un plaisir réel à étudier. Je pense vraiment que cette année m’a appris à travailler de manière plus méthodique, organisée et à penser différemment.

Enfin, côté personnel, la distance vous rapproche énormément de vos proches. C’est là que vous ressentez toute la force des liens familiaux, amicaux et amoureux. Il est important de toujours rester en contact avec eux (pas trop non plus !) Les repas de famille m’ont manquée parce qu’aux Etats-Unis il est commun de manger un plateau télé tout seul dans le salon, un snack ou au fast food quand le temps presse. J’ai le sentiment que les gens ne prenaient pas le temps de se poser : la vie des américains va à 100 à l’heure entre les cours, le ou les job(s) qu’ils ont, leur vie familiale (beaucoup ont déjà des enfants !) leur vie associative, etc. Ma colocataire travaillait environ 30h par semaine, en plus des cours (12h + devoirs). Les dimanches elle travaillait pour la fraternité et venait aussi aux meetings. Autrement dit, elle ne se reposait que très rarement. Je l’admire beaucoup puisqu’elle réussit à jongler avec son emploi du temps chargé. Maria fut très disponible pour moi de mon arrivée à mon départ.

Maria et moi

Je pense que c’est le bilan complet de mon année. Je pourrais en écrire des pages mais j’ai essayé d’être un minimum concise… Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à commenter !

Le temps des décisions

Le mois de Février se termine déjà. A Indianapolis, le froid est toujours présent mais la neige a entièrement fondu. Tant mieux, je commençais à fatiguer. Les températures négatives affectent sans aucun doute l’organisme… et le moral !

Ce mois-ci, les étudiants de l’EM Strasbourg à l’étranger devaient choisir entre une année de césure et continuer directement en Master 2. L’intranet nous permettait d’indiquer nos voeux jusqu’au 28 février.

Intranet

Plusieurs spécialisations sont d’ailleurs disponibles ainsi que des double-diplômes: marketing stratégique et opérationnel, e-marketing et TIC, banque finance, comptabilité contrôle finance, parcours CCA, négociation et management commercial, entrepreneuriat, management des ressources humaines, international and european business, management du tourisme, management public avec l’IEP, marketing du sport avec l’université…

Personnellement, j’ai choisi d’effectuer une césure après mon année à l’étranger.  Je compte faire deux stages de 6 mois dans les domaines du marketing et communication. Pour quelles raisons ai-je décidé de faire une césure?

  • La compétition est rude sur le marché du travail: gagner de l’expérience ne peut être que bénéfique pour mon profil.
  • Le choix du secteur pour mon avenir professionnel: Il existe plusieurs industries qui me font de l’oeil! Je vais ainsi murîr mon projet professionnel.
  • Une césure permet une immersion complète au sein d’une entreprise. Ma priorité est tout simplement d’apprendre, de progresser, d’enrichir mon profil et bien évidemment de mettre mes compétences déjà acquises au service d’une entreprise.
  • La césure devrait m’aider dans la recherche d’un éventuel contrat d’apprentissage pour ma dernière année au sein de l’école.

Je vous tiendrais au courant de l’évolution de mes candidatures. Les annonces commencent tout juste à fleurir. Ma seule appréhension est de passer à côté d’une opportunité car je suis actuellement à l’étranger. Heureusement, les entreprises semblent habituer aux entretiens Skype! Autre point important: parler anglais couramment est un gros atout puisque de nombreuses entreprises l’exigent. Mon année à l’étranger est donc très profitable.

Dossier Spécial Départ à l’étranger : 2/4

Cet article sera destiné à tous les étudiants de mon école mais également aux potentiels candidats de l’école qui s’interrogent sur les départs à l’étranger. L’EM Strasbourg propose une diversité de destinations appréciée. Pour être plus concrète,  j’ai demandé à quelques étudiants de témoigner sur les destinations qui leur plairaient…

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Claire a choisi … L’Allemagne

« Pour ma part je pense que chaque étudiant fait ces études suite à un choix stratégique, je fais de l’allemand depuis la 6e au détriment d’autres langues vivantes, et je me demande à quoi auraient servi mes efforts si cela ne m’était d’aucune utilité.Actuellement en parcours franco-allemand malgré un allemand médiocre (déprimant au bout de si longtemps), je pense qu’aller en Allemagne, puissance économique en Europe, en recherche de population active, pays voisin, me parait tout à fait judicieux.L’Allemagne peut paraître peu exotique, mais j’ai toujours eu l’impression que c’était mieux que la France, c’est vraiment un pays qui me fait rêver et j’espère ne pas être déçue.Les universités y sont nombreuses, les places demandées, mais cependant moins prisées que les pays anglophones. Croisons les doigts en attendant les résultats ! »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Gauthier préfère.. les pays d’Asie

« L’Asie, c’est un peu la plaque tournante du commerce actuel et elle tend à la devenir de plus en plus. Pour moi qui cherchait à partir dans un pays en développement, les destinations de l’EM étaient d’emblée intéressantes. Avec 6 partenariats en Inde, autant en Chine et presque une vingtaine dans d’autres pays asiatiques, je ne pensais pas rencontrer trop de problèmes pour partir. Cependant, l’Inde étant considérée comme une destination à part (elle exige une certaine maturité que les 2A n’auraient pas), la plupart des destinations ne sont accessibles qu’en 3A. Mon rêve de partir à New Dehli s’est donc envolé. En ce qui concerne les autres pays asiatiques en développement, la Thaïlande et l’Indonésie exige le TOEFL (que je n’ai pas passé pour des raisons financières). Reste le Vietnam, où la possibilité nous est offerte de faire un double diplôme avec les universités d’Hanoi ou de Ho Chi Minh City. Ayant déjà voyagé dans cette partie de l’Asie, j’avoue être très tenté par cette destination. D’autant plus que grâce à l’Ent, j’ai pu entrer en contact avec les étudiants étant déjà sur place. Sur ce point, le réseau de l’EM s’est avéré très utile et réactif. »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Victoria se lance au Mexique !

« Pour ma part, j’aimerais aller au Mexique. Au départ, je souhaitais un pays anglophone mais vu la demande pour ces destinations je me suis dit autant améliorer ma LV2 et aller chercher un peu de soleil et d’exotisme en Amérique Latine ! Mon choix c’est dirigé naturellement vers cette destination puisque je pourrais suivre des cours en anglais dans leur université (un bon compromis pour travailler à la fois l’anglais et l’espagnol). Et puis après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’opportunité de partir 1 an à l’autre bout du monde, donc autant en profiter ! Le Mexique est plutôt accessible puisqu’il y a pas mal de places ! J’en suis ravie mais quelques peu inquiète que les autres étudiants se redirigent vers cette destination une fois le classement dévoilé ! J’espère pouvoir découvrir les plus belles plages de Cancún et visiter ce beau pays l’an prochain ! »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Emilie se focalise sur le continent Européen…

« La mobilité internationale a été un facteur décisif dans le choix de mon école de commerce. L’Em Strasbourg est alors apparue comme une évidence. Un an, deux semestres consécutifs dans une université partenaire à l’étranger, ça me fait rêver, mais le moment du choix de la destination est arrivé beaucoup plus vite que ce que j’imaginais. Où partir ? Pour ma part, j’ai surtout envie d’être dépaysée et de pratiquer et améliorer mon anglais. Cependant, et je ne le nie pas, je ne me sens pas encore prête à partir à l’autre bout du monde ce qui impliquerait de ne plus voir ma famille et mon copain pendant un an. C’est pourquoi mes choix de destinations se sont tous portés vers des pays d’Europe. Dans l’idéal, j’aimerais intégrer The University College à Cork en Irlande à la fois parce que les cours proposés et les modules y sont très variés, mais aussi parce que l’ambiance du campus est paraît-il idéale et surtout parce que l’Irlande est un pays qui m’attire depuis plusieurs années. Mais ce choix n’est pas fermé, ni fixé. J’ai aussi consacré notamment  un vœu à l’Università degli Studi di Pavia en Italie pour travailler à la fois l’anglais et l’italien dans une université bilingue, ainsi qu’un vœu à The University of Economics and Business à Athènes en Grèce pour partir à l’aventure dans un pays et une culture qui me sont totalement inconnus. Désormais, j’attends avec impatience de découvrir le verdict final, mais quoiqu’il en soit, je suis persuadée que l’an prochain sera bénéfique pour tous les élèves. »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

J’ai choisi… l’Amérique !

« J’ai toujours eu envie de vivre le rêve américain et on peut dire que l’EM Strasbourg exauce mon souhait ! Beaucoup d’universités partenaires aux Etats-Unis proposent des places notamment Tulane University à la Nouvelle Orléans ou encore l’université de San Diego. Mais il existe aussi des universités moins connues, moins exigeantes avec le score TOEFL ce qui implique que tous les étudiants ayant obtenu 79 au TOEFL peuvent avoir une destination (il reste des places chaque année). Je suis également très intéressée par le Canada mais évidemment, c’est beaucoup plus demandé car il n’y a pas de TOEFL. HEC Montréal m’intéresse particulièrement là-bas. On verra ce que donne le classement ! »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Enfin Isabelle nous parle de ses ambitions… avec des destinations originales !

drapeauCoree_du_sud« Amatrice de taekwondo et passionnée de cinéma coréen, c’est tout naturellement au pays du Matin calme que j’aimerais atterrir. J’ai vraiment envie de vivre une année unique, de côtoyer les générations, de connaître la vie à la coréenne et de découvrir cette culture qui me plaît et me fascine (sans oublier les pays alentours). Et si je n’ai pas la Corée ? Et bien j’irai au Kazakhstan. ‘’Par défaut’’, ‘’Destination trop pourrie, pas fun’’ comme beaucoup le pensent. Qu’ils se détrompent. J’ai réellement à cœur de partir là où peu (voire pas) de personnes partent afin de profiter un maximum de cet endroit et de ses singularités. Je veux juste que tout ce que je puisse faire ou entreprendre soit quelque chose qui m’appartienne, pour mieux le partager ensuite. Le Kazakhstan n’est pas un pays auquel j’avais pensé, c’est même l’inconnu total pour moi ! Comme pour la Corée, j’ai cherché à savoir si cette destination correspondrait à mes envies personnelles et à mes projets futurs, et maintenant que c’est fait, alors je dirais que oui ! Pour la première comme pour la deuxième destination, je pense qu’elles me construiront davantage personnellement et qu’elles me pousseront à aller au-delà de ce que je suis aujourd’hui. »

———–*————*————*————*———–*————*————*————*

Découvrez cette petite vidéo réalisée en 2012 par le Bureau du Multimédia « Around the world ! » Plusieurs étudiants ont contribué à sa réalisation…

Enfin voici une petite galerie regroupant des photos de plusieurs destinations possibles (universités, villes) avec l’EM Strasbourg.

N’hésitez pas à poser des questions si vous en avez !