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Pourquoi sélectionner l’université d’Indiana dans vos voeux?

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Cet article s’adresse aux étudiants de l’EM Strasbourg. Les premières années doivent déterminer leurs voeux pour leur départ à l’étranger. Une place seulement est disponible cette année. J’ai décidé de vous expliquer les raisons pour lesquelles vous devriez choisir « Indiana University Purdue University Indianapolis » dans vos voeux!

1. L’université est d’un excellent niveau académique: réputée aux Etats-Unis, l’école Kelley School of Business possède de bons classements notamment avec globalement un 10ème rang pour le programme undergraduate sur toutes les facs américaines (Le site de l’université rassemble tous les classements sur ce lien) Les professeurs sont excellents et les cours très intéressants.

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2. La vie associative est très développée et accessible aux étudiants en échange sur le
campus!

3. Le Midwest est une région typiquement américaine notamment dans les moeurs. La région est certes réputée pour être conservatrice mais cela permet de développer son ouverture d’esprit. Vous avez souvent affaire à deux amériques différentes! Un point positif: l’anglais de la région est « pur » sans accent particulier et quand même plus simple à comprendre.

4. A vous les voyages pas chers! Vous ne serez qu’à 3h en bus de Chicago, 1h30 de Louisville, Cincinnati, et 5h de Nashville. Un ticket de bus varie de 1$ à 30$. L’aéroport pour voyager plus loin se trouve à 20min en voiture du campus. Des navettes s’y rendent tous les jours. 

5.  Indianapolis est une ville très agréable à vivre avec un centre ville accessible à pied avec ses bars, son grand centre commercial, ses restaurants et cafés. Le canal d’Indianapolis est également réputé et permet de pratiquer du sport régulièrement (jogging etc). C’est une ville de taille moyenne idéale pour découvrir les Etats-Unis (13ème ville la plus grande des USA). Vous serez au coeur de cette ville avec la possibilité d’assister à des matchs de football américain, de baseball et de basketball d’équipes nationales à des prix attractifs.800px-Indiana_State_Capitol_Market_St

6. Le coût de la vie sur place est vraiment bas: c’est un gros avantage dès que vous sortez! Il est vraiment possible de faire pas mal d’économies si vous le souhaitez.

7. Même avec un niveau moyen en anglais, l’intégration ne pose pas de soucis. J’avais un niveau très moyen d’anglais avant d’arriver (79 avant de partir) et même avec des faiblesses, j’ai réussi à m’intégrer et j’ai réussi mes cours. Les profs sont exigeants mais ils connaissent votre situation. J’ai vraiment beaucoup progressé et je peux dire à présent que je parle couramment anglais.

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8.Une seule place est proposée pour un départ cette année. Vous vouliez partir avec votre copain/copine? Oubliez l’idée, je pense qu’une année à l’étranger aux USA ne peut être bénéfique que si vous évitez les français. La tentation est grande d’habiter avec un français mais vous vous rendrez vite compte que ce n’est pas le mieux. Pensez aussi à la colocation très répandue à Indianapolis!

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10. Faire la fête est carrément possible: les fraternités organisent régulièrement des soirées. Beaucoup d’étudiants se rendent à Bloomington directement dans les maisons de fraternité pour expérimenter la vie étudiante. Cependant l’université est également adaptée aux étudiants qui préfèrent une vie plus calme et posée avec des évènements réguliers au sein de l’université (l’international culture hour chaque vendredi par exemple). Le plus souvent, des petites soirées entre amis ont lieu ce qui permet de faire des rencontres.

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 Si vous avez d’autres questions n’hésitez pas à poster un commentaire.

Crédits photo: wikipedia/site de Alpha Epsilon Pi

Les bourses pour partir aux Etats-Unis

Envie de partir aux Etats-Unis en échange universitaire? Je vous dis BANCO! Cette expérience mérite d’être vécue mais bien-entendu, elle implique des dépenses et un budget conséquent. Il faut bien prendre en compte le logement, l’avion, la vie sur place, les frais scolaires (assurance, livres, autres frais annexes) ou encore les VISA.

La bourse ERASMUS n’est évidemment pas accessible car réservée aux départs en Europe.

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En premier lieu, je vous conseille de vous orienter vers votre école et/ou votre université qui sera la mieux à même de vous renseigner selon votre cas. Voici quelques bourses intéressantes pour un départ aux Etats-Unis:

Les bourses régionales sont la première option. En Alsace, 800 euros sont normalement attribués pour chaque étudiant de la région parti à l’étranger (Bourse Boussole) Cependant, cela dépend de chaque région: l’Ile de France réserve ces bourses aux boursiers.

-La bourse de l’Aide à la Mobilité Internationale du Crous (AMI): réservée aux boursiers et allocataires. Je crois que son montant dépend de votre statut de boursier!

- Les bourses de la Commission franco-américaine 

- Les bourses des universités comme celle de l’université de Strasbourg (Unistra): il faut que votre école y soit reliée bien évidemment. C’est encore bien trop rare en France. Cela est versé sur 6 mois.

Ceci est une liste non exhaustive. N’oubliez pas les prêts étudiants, souvent à taux avantageux, pour les départs à l’étranger. Par ailleurs, les bourses ont tendance à être versées en cours ou à la fin du séjour. Il faut donc avancer les frais ! Soyez donc vigilants. 

J’ai testé: aller chez le médecin aux Etats-Unis

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Chaque semestre, les étudiants d’IUPUI paient leur assurance santé Aetna Student Health. Je ne sais pas si les prix diffèrent suivant le statut de l’étudiant (étudiant international, venant de l’Indiana…) Pour ma part j’ai payé 498$ pour le semestre. Exhorbitant me direz-vous. Je suis TOTALEMENT d’accord MAIS…

Il faut savoir plusieurs choses: les frais aux Etats-Unis sont extrèmement chers. Une appendicite avec prise en charge à l’hôpital pendant 2 jours peut coûter jusqu’à 25 000 dollars.  Beaucoup d’étudiants américains n’ont pas les moyens de se payer une assurance santé. L’assurance santé est obligatoire ici pour les étudiants étrangers. L’université « l’impose » mais vous pouvez prendre l’assurance de votre pays d’origine. Je l’avais envisagé mais j’avoue que j’avais un peu peur des démarches que cela pouvait engendrer en cas de problème de santé. Le choix d’une assurance pour les Etats-Unis doit être réfléchi: avec celle de la fac, pas de questions à se poser ! Toutes les clauses sont logiquement respectées comme la possibilité de couvrir 150 000 euros minimum de soins. Les Etats-Unis imposent aux étudiants en échange de remplir certaines clauses avec leur assurance… renseignez-vous bien !

Pour ma part, j’ai dû me rendre chez un médecin spécialiste. Le Student Health Service du campus est toujours ouvert aux étudiants. (Aucun médecin ne fait de visite à domicile aux Etats-Unis).

Hopital

Le premier point important, et je pense que cela  est dû au standing de l’hôpital très réputé aux Etats-Unis, est que j’ai eu le droit à un interprète français. En fait, je l’ai rencontrée à l’heure de mon rendez-vous à l’hôpital: Elisabeth, c’est son nom, est américaine et adore la France. Elle a été vraiment utile pour parler des termes médicaux. Deuxième point intéressant: les médecins sont très encadrés. Une infirmière est présente pendant l’examen. Elle est chargée de vérifier que tout se passe bien. Par ailleurs, le médecin parle beaucoup avec vous: le rendez-vous a duré une heure ! J’ai remarqué qu’ils étaient assez prudes, beaucoup plus qu’en France.

Je n’ai rien payé, heureusement, grâce à mon assurance qui couvre les frais. J’ai cependant payé 10$ pour mon médicament (à l’origine 36$… il est à 6 euros en France!) Je pense que cette consultation a déjà remboursé mon assurance… Il existe des pharmacies un peu partout qui délivrent sur ordonnance certains médicaments. Cependant, de larges choix sont disponibles en grande surface: Advil, crème anesthésiante, anti douleur etc.

Mon conseil est donc de ne pas négliger son assurance santé. Les problèmes n’arrivent pas qu’aux autres ! Choisissez judicieusement votre assurance en faisant de multiples recherches. Soyez sûr que votre assurance, si elle est de votre pays d’origine, remplit les conditions imposées par votre université.

EDIT 25/11: après deux/trois mois j’ai reçu une facture du médecin. Mon assurance n’a en fait couvert que 70$ et il me reste 87$ à payer. Conclusion: avoir une assurance c’est bien, mais un rendez-vous reste quand même sacrément cher. Faites bien un gros check up avant de partir !

Fall Break (2) Toronto

Toronto, la ville la plus cosmopolite et la plus grande du Canada…

Autant vous prévenir tout de suite, j’ai été plutôt déçue. je crois que c’est dû en grande partie au fait d’avoir choisi de me rendre dans cette ville pendant le Thanksgiving canadien. Ne me demandez pas ce qu’est le Thanksgiving canadien, je n’en sais rien (si un étudiant de l’EM Strasbourg en échange à Montréal passe par ici… je l’invite à nous expliquer en commentaire !) En tout cas, c’est exactement comme en France un jour férié: TOUT est fermé. (Exception faite de notre auberge de jeunesse, LA très bonne surprise du voyage avec une excellente situation géographique et une ambiance de folie pour 25$ la nuit => The Clarence Park)

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Toronto est réputée pour sa situation géographique près du lac Ontario, pour son côté cosmopolite mais aussi pour son activité. Le fait est que j’ai cherché vainement un magasin ouvert le dimanche ou encore le lundi de Thanksgiving. Après 2 mois aux Etats-Unis où les magasins sont ouverts tout le temps, dur dur de se réhabituer à ce genre de petits détails. Surtout quand la ville est reputée pour ses 27 km de souterrains avec 1200 magasins… Frustration. Autre point frappant: la ville de Toronto est TRES chère. Là encore, vous y perdez au change par rapport aux Etats-Unis. Nous avons voulu visiter le musée du Hockey mais à près de 20$ l’entrée, nous avons préféré économiser… surtout que nous voulions monter dans la CN Tower. Si vous avez le vertige, c’est le moment d’affronter votre peur ! C’est la tour la plus haute du Canada et elle fut la plus haute du monde pendant 34 ans. J’ai payé 37$ pour monter. MONTER. C’est-à-dire que je suis restée à peine 20 minutes en haut pour ce prix. Cependant, les paysages sont fabuleux, la vue est splendide donc cela a un peu calmé mon amertume. J’ai finalement réussi à marcher sur le plancher en verre en altitude, très très très flippant !

J’ai quand même passé de bons moments dans cette ville (la tour) mais aussi notamment lors d’un passage à Chinatown où nous avons dîné. (N’oubliez pas les pourboires où ils auront vite fait de réclamer !) Notre balade du lundi dans les quartiers plutôt chics, au bord du lac, de la ville fut vraiment agréable. Je n’avais jamais vu autant de joggers et de chiens au même endroit. D’ailleurs, je suis sûre que Toronto n’est pas une ville où il fait bon vivre en famille. La majorité des habitants semblaient être des couples jeunes, sans enfants, et accessoirement avec un compagnon à 4 pattes. Je pense qu’ils doivent fortement apprécier le café vu le nombre de Starbucks dans la ville.

Concrètement, Toronto m’est apparue comme un mélange Etats-Unis – France. J’ai trouvé que beaucoup de constructions gâchaient le paysage. Quant au quartier « historique » de la distillerie, il était vraiment mignon.. jusqu’à ce que je vois qu’ils s’étaient amusés à construire une tour au dessus du vieux bâtiment (voir ci-dessous) Par ailleurs, chaque vieux bâtiment avait été rénové pour accueillir des boutiques. Ne comptez pas en apprendre davantage sur l’histoire du quartier…

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 Je tiens à préciser que je n’ai sûrement pas un avis très objectif. Je suis tombée le mauvais weekend. Personnellement, J’avais un sentiment de malaise au sein de cette ville. Cependant je n’ai pas eu la chance de visiter le Royal Museum de Toronto et d’autres quartiers (York etc) donc j’insiste vraiment: c’est mon bilan PERSONNEL après deux jours SEULEMENT passés dans la ville.

N’hésitez pas à laisser un commentaire si vous pensez y aller ou si vous y avez déjà été ! :) Dites moi votre avis !

Pour finir une dernière galerie des photos les plus sympas !

Installation finie !

Venir aux Etats-Unis implique uniquement 23 kilos dans une valise. Impossible donc d’apporter toutes vos affaires. J’ai dû faire du tri également. Aux Etats-Unis, vous ne pouvez pas faire vos courses à pied. Ou alors vous allez devoir marcher ! La voiture est le plus pratique. Ma liste était simple : matelas, nourriture, produits de toilettes, téléphone portable.

Mes colocataires, adorables, m’ont conduite dans un magasin avec des matelas à -70%. J’ai donc eu un matelas très confortable pour 105$. Ensuite j’ai acheté nourriture et produits de toilettes. Les prix sont moins élevés qu’en France. Dites adieu aux fromages roquefort, camembert.. Vous trouverez des sachets de fromage râpé de toutes sortes ! J’ai ainsi acheté quelques produits français, un peu de produits américain (des boites toutes prêtes). C’est très simple de trouver de quoi faire à manger et vous pouvez trouver des produits de toutes tailles. Tout cela coûte 51$ soit environ 40/45 euros. Cela reste raisonnable. Aux USA, les sachets plastiques sont donnés pour tout et n’importe quoi, pas très utile pour l’environnement !

J’ai acheté mon téléphone chez Virgin Mobil aux USA. J’ai pris un Samsung Galaxy Ring  (179 $) avec un forfait à 35$. Internet, messages illimités et 300 minutes d’appel. En effet, j’utilise Viber et Whatsapps, des applications, pour communiquer gratuitement en France (appels et sms). Si vous prenez votre téléphone français et que vous voulez internet illimité, vous devrez payer 70$ par mois. Sur l’année, vous y perdez ! Je pourrai ainsi revendre mon téléphone américain à la fin de l’année.

Même si nous sommes dans une grosse ville américaine, la vie est tout de même agréable avec le canal d’Indianapolis. Je marche tous les jours pour visiter la ville environ 1h ou 2h, je vous ferai bientôt un article sur la ville d’Indianapolis ! Je vais débuter ma semaine d’orientation dès demain ! A bientôt ! :)

Arrivée aux Etats-Unis

Liste des départs

Ma journée du 8 août 2013 a commencé sur les chapeaux de roue. Départ à 7h, arrivée à 8h à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle au terminal 2E. J’ai récupéré mes changes (je l’ai fait sur internet ce qui permet d’éviter des frais supplémentaires et de juste retirer son argent). Ensuite, enregistrement des bagages, et hop direction la porte d’embarquement. Il faut savoir que je n’ai pas eu de problèmes administratifs, tout est très bien organisé dans les aéroports et il y a toujours quelqu’un pour nous orienter.

Panneaux
Le principal problème était que je hais les avions. J’ai une frousse inimaginable (tout simplement parce que je ne comprends pas vraiment comment fonctionne un engin comme celui-là.) Résultat : deux avions en une journée, j’ai eu ma dose ! 9h au total avec une escale à Détroit. Ce qui m’a marqué ? Là bas, on vous passe entièrement aux rayons lors du passage douanier dans une cabine. Vous enlevez même vos chaussures.

L’arrivée à Indianapolis s’est déroulée normalement : valise au rendez-vous, mes colocataires m’attendaient avec un beau panneau « WELCOME HELENE ! ». Elles m’ont ensuite emmenée vers le centre-ville, à 15 minutes en voiture de l’aéroport. Je n’ai pas eu le temps de trop visiter mais pour le moment tout se passe bien !

Vue sur le centre ville

 

 

Le départ approche : J-10

Le temps passe vraiment trop vite… Vous vous êtes surement déjà dit cette phrase. Personnellement, je me la répète tous les jours. Ma valise est loin d’être prête, d’ailleurs elle n’est même pas commencée mais je commence à me demander : comment faire rentrer sa vie dans une valise ? Le choix des vêtements va être difficile car je ne dois pas dépasser les 23kg. Je sens que je vais devoir faire le tri dans toutes mes trousses de maquillage et mes vernis à ongles. Lire la suite

Dossier Spécial Départ à l’étranger : 2/4

Cet article sera destiné à tous les étudiants de mon école mais également aux potentiels candidats de l’école qui s’interrogent sur les départs à l’étranger. L’EM Strasbourg propose une diversité de destinations appréciée. Pour être plus concrète,  j’ai demandé à quelques étudiants de témoigner sur les destinations qui leur plairaient…

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Claire a choisi … L’Allemagne

« Pour ma part je pense que chaque étudiant fait ces études suite à un choix stratégique, je fais de l’allemand depuis la 6e au détriment d’autres langues vivantes, et je me demande à quoi auraient servi mes efforts si cela ne m’était d’aucune utilité.Actuellement en parcours franco-allemand malgré un allemand médiocre (déprimant au bout de si longtemps), je pense qu’aller en Allemagne, puissance économique en Europe, en recherche de population active, pays voisin, me parait tout à fait judicieux.L’Allemagne peut paraître peu exotique, mais j’ai toujours eu l’impression que c’était mieux que la France, c’est vraiment un pays qui me fait rêver et j’espère ne pas être déçue.Les universités y sont nombreuses, les places demandées, mais cependant moins prisées que les pays anglophones. Croisons les doigts en attendant les résultats ! »

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Gauthier préfère.. les pays d’Asie

« L’Asie, c’est un peu la plaque tournante du commerce actuel et elle tend à la devenir de plus en plus. Pour moi qui cherchait à partir dans un pays en développement, les destinations de l’EM étaient d’emblée intéressantes. Avec 6 partenariats en Inde, autant en Chine et presque une vingtaine dans d’autres pays asiatiques, je ne pensais pas rencontrer trop de problèmes pour partir. Cependant, l’Inde étant considérée comme une destination à part (elle exige une certaine maturité que les 2A n’auraient pas), la plupart des destinations ne sont accessibles qu’en 3A. Mon rêve de partir à New Dehli s’est donc envolé. En ce qui concerne les autres pays asiatiques en développement, la Thaïlande et l’Indonésie exige le TOEFL (que je n’ai pas passé pour des raisons financières). Reste le Vietnam, où la possibilité nous est offerte de faire un double diplôme avec les universités d’Hanoi ou de Ho Chi Minh City. Ayant déjà voyagé dans cette partie de l’Asie, j’avoue être très tenté par cette destination. D’autant plus que grâce à l’Ent, j’ai pu entrer en contact avec les étudiants étant déjà sur place. Sur ce point, le réseau de l’EM s’est avéré très utile et réactif. »

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Victoria se lance au Mexique !

« Pour ma part, j’aimerais aller au Mexique. Au départ, je souhaitais un pays anglophone mais vu la demande pour ces destinations je me suis dit autant améliorer ma LV2 et aller chercher un peu de soleil et d’exotisme en Amérique Latine ! Mon choix c’est dirigé naturellement vers cette destination puisque je pourrais suivre des cours en anglais dans leur université (un bon compromis pour travailler à la fois l’anglais et l’espagnol). Et puis après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’opportunité de partir 1 an à l’autre bout du monde, donc autant en profiter ! Le Mexique est plutôt accessible puisqu’il y a pas mal de places ! J’en suis ravie mais quelques peu inquiète que les autres étudiants se redirigent vers cette destination une fois le classement dévoilé ! J’espère pouvoir découvrir les plus belles plages de Cancún et visiter ce beau pays l’an prochain ! »

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Emilie se focalise sur le continent Européen…

« La mobilité internationale a été un facteur décisif dans le choix de mon école de commerce. L’Em Strasbourg est alors apparue comme une évidence. Un an, deux semestres consécutifs dans une université partenaire à l’étranger, ça me fait rêver, mais le moment du choix de la destination est arrivé beaucoup plus vite que ce que j’imaginais. Où partir ? Pour ma part, j’ai surtout envie d’être dépaysée et de pratiquer et améliorer mon anglais. Cependant, et je ne le nie pas, je ne me sens pas encore prête à partir à l’autre bout du monde ce qui impliquerait de ne plus voir ma famille et mon copain pendant un an. C’est pourquoi mes choix de destinations se sont tous portés vers des pays d’Europe. Dans l’idéal, j’aimerais intégrer The University College à Cork en Irlande à la fois parce que les cours proposés et les modules y sont très variés, mais aussi parce que l’ambiance du campus est paraît-il idéale et surtout parce que l’Irlande est un pays qui m’attire depuis plusieurs années. Mais ce choix n’est pas fermé, ni fixé. J’ai aussi consacré notamment  un vœu à l’Università degli Studi di Pavia en Italie pour travailler à la fois l’anglais et l’italien dans une université bilingue, ainsi qu’un vœu à The University of Economics and Business à Athènes en Grèce pour partir à l’aventure dans un pays et une culture qui me sont totalement inconnus. Désormais, j’attends avec impatience de découvrir le verdict final, mais quoiqu’il en soit, je suis persuadée que l’an prochain sera bénéfique pour tous les élèves. »

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J’ai choisi… l’Amérique !

« J’ai toujours eu envie de vivre le rêve américain et on peut dire que l’EM Strasbourg exauce mon souhait ! Beaucoup d’universités partenaires aux Etats-Unis proposent des places notamment Tulane University à la Nouvelle Orléans ou encore l’université de San Diego. Mais il existe aussi des universités moins connues, moins exigeantes avec le score TOEFL ce qui implique que tous les étudiants ayant obtenu 79 au TOEFL peuvent avoir une destination (il reste des places chaque année). Je suis également très intéressée par le Canada mais évidemment, c’est beaucoup plus demandé car il n’y a pas de TOEFL. HEC Montréal m’intéresse particulièrement là-bas. On verra ce que donne le classement ! »

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Enfin Isabelle nous parle de ses ambitions… avec des destinations originales !

drapeauCoree_du_sud« Amatrice de taekwondo et passionnée de cinéma coréen, c’est tout naturellement au pays du Matin calme que j’aimerais atterrir. J’ai vraiment envie de vivre une année unique, de côtoyer les générations, de connaître la vie à la coréenne et de découvrir cette culture qui me plaît et me fascine (sans oublier les pays alentours). Et si je n’ai pas la Corée ? Et bien j’irai au Kazakhstan. ‘’Par défaut’’, ‘’Destination trop pourrie, pas fun’’ comme beaucoup le pensent. Qu’ils se détrompent. J’ai réellement à cœur de partir là où peu (voire pas) de personnes partent afin de profiter un maximum de cet endroit et de ses singularités. Je veux juste que tout ce que je puisse faire ou entreprendre soit quelque chose qui m’appartienne, pour mieux le partager ensuite. Le Kazakhstan n’est pas un pays auquel j’avais pensé, c’est même l’inconnu total pour moi ! Comme pour la Corée, j’ai cherché à savoir si cette destination correspondrait à mes envies personnelles et à mes projets futurs, et maintenant que c’est fait, alors je dirais que oui ! Pour la première comme pour la deuxième destination, je pense qu’elles me construiront davantage personnellement et qu’elles me pousseront à aller au-delà de ce que je suis aujourd’hui. »

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Découvrez cette petite vidéo réalisée en 2012 par le Bureau du Multimédia « Around the world ! » Plusieurs étudiants ont contribué à sa réalisation…

Enfin voici une petite galerie regroupant des photos de plusieurs destinations possibles (universités, villes) avec l’EM Strasbourg.

N’hésitez pas à poser des questions si vous en avez !

Dossier Spécial Départ à l’étranger : 1/4

Après avoir longuement parlé des classements et départs à l’étranger, il me semblait normal de vous faire partager mon stress et l’attente avant les résultats. Les premières notes des partiels tombent. J’ai réussi à avoir 15,3 en informatique, espérons que la suite sera aussi bonne ! Le compte à rebours est lancé avant la date butoir : le 18 février 2013. Nous saurons alors où nous irons l’année prochaine en échange universitaire sachant que l’école a des partenariats dans énormément de pays et sur chaque continent. Chaque année, de nouveaux partenariats fleurissent : cette année, par exemple, a ouvert en Australie un partenariat avec une université à Adélaïde. Les places disponibles dans chaque université ont été annoncées et près de 550 places sont disponibles pour 450 étudiants sur le départ…

J’ai décidé de partir en deuxième année. Pourquoi ?

Moi à Strasbourg

- Si vous souhaitez faire de l’apprentissage en dernière année, il faut absolument partir en deuxième année. C’est mon cas.

- Je voudrais faire une césure dans une grande entreprise, or même pour un stage, un niveau d’anglais courant est demandé… Cela sera donc plus pertinent au retour d’un an à l’étranger.

- Et en dernière raison, plus de places sont disponibles pour les départs en deuxième année plutôt qu’en troisième année car les étudiants sont plus nombreux à choisir la première option.

Il a choisi de partir en troisième année. Pourquoi ?

Julien

- Si vous souhaitez suivre le parcours associatif de deuxième année, faites comme Julien, un de mes camarades de promotion. Il est actuellement dans une liste BDE et souhaite assurer l’ambiance à l’école l’année prochaine ! Surtout au WEI à ce que j’ai pu voir… :p Il a également comme projet de contribuer au BDP (Bureau de Presse), et oui, il est possible de participer à plusieurs associations et ce parcours sera ensuite évalué :)

- La première année est très intense. « J’aimerais avoir le temps de bien travailler mes cours et de préparer avec plus de recul le TOEFL. Le classement est important et rien ne doit être laissé au hasard. »

- « Je me sens bien à Strasbourg et j’avais envie de rester. » Comme quoi, ça peut vraiment être aussi simple que ça ! ;)

  • Le système de voeux

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Tout se déroule sur l’intranet de l’école. Vous devez indiquer six choix parmi les universités proposées. En soi, cela n’est pas pertinent tant que vous ignorez votre classement… Mais j’ai pu déjà voir que les universités en Irlande et au Royaume Uni étaient très demandées par les étudiants. Chaque faculté a sa propre fiche avec les indications nécessaires : score TOEFL obligatoire ou non (si oui, le score minimum demandé) les adresses web des universités, l’accès à la liste de cours possibles et d’autres modalités par exemple d’ordre financière ou concernant les assurances. Le service international est là pour nous répondre si nous avons des questions. Vous pouvez voir sur la page Demandes combien de personnes ont mis telle ou telle université dans leurs voeux et à quelle place. En cliquant dessus, vous verrez même leur classement en temps voulu.. Exemple : vous avez choisi le Trinity College à Dublin en voeu 1. 3 personnes l’ont mise en voeu 1. Vous avez donc deux concurrents. En cliquant vous verrez s’ils sont mieux classés que vous. Or s’il n’y a qu’une place, vous êtes sûrs de ne pas l’avoir.

  • Les petits soucis du système

Il existe souvent quelques bugs informatiques qui empêchent le bon fonctionnement. Mais le plus souvent ils sont réglés rapidement.

Concernant le nombre de places attribuées, on peut se demander pourquoi il n’y a souvent qu’une place disponible dans certaines facultés ce qui rend leur accès très difficile. De plus, certaines fiches sont mises à jour souvent très tard (notamment sur les scores TOEFL obligatoires ou non). Je préfère quand même indiquer que le service international est très occupé et qu’il se doit de gérer le départ de centaines de personnes. Par ailleurs, on peut dire que ses membres ne chôment pas puisqu’ils prennent le temps de nous répondre et également de contacter une à une chaque université et de les relancer pour demander plus de places. Souvent, les universités partenaires établissent elles-mêmes leurs critères de sélection. C’est identique dans chaque école.

La suite à venir dans un prochain article…