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Stage en agence: une nouvelle aventure

Vous vous demandiez certainement où j’allais atterrir pour mon second stage de césure. Je dois avouer que cette recherche de stage n’a pas été des plus reposantes.

Dans un premier temps, je pense que si j’avais eu le choix, j’aurai demandé un stage de césure débutant en Juillet pour enchaîner avec un stage en Janvier. En effet, il y a beaucoup plus d’offres à cette période qu’en Mars. C’est un critère important car ces stages vous aident à construire votre parcours : accepter un stage par défaut n’est jamais bon.

Il s’est avéré que j’hésitais entre poursuivre chez un annonceur (une entreprise) ou aller en agence. Le travail en agence est réputé pour être intense mais cela ne me fait pas peur. Je souhaitais juste faire un choix cohérent avec mon parcours et réaliser un stage dans lequel j’apprendrai beaucoup de choses et où je pourrai mettre en avant mes compétences déjà acquises.

J’ai eu plusieurs entretiens avec notamment McDonald’s France, le groupe Krys ou Cleor. Cependant, j’ai trouvé mon stage par le biais du réseau professionnel Linkedin. Je connaissais une agence digitale appelée Isobar puisqu’elle avait réalisé l’application mobile Showroomprivé que j’utilise régulièrement. Ainsi, j’ai pris l’initiative de contacter un chef de projet qui a ensuite fait passer ma candidature. Après plusieurs entretiens pour cerner ma motivation et dans quel service je me sentirai le mieux, Isobar m’a fait une proposition que j’ai fini par accepter en tant que chef de projet junior.

Photo foursquare Vincent C
Photo foursquare Vincent C

Pourquoi ce stage ? Tout d’abord, la diversité des clients m’a convaincue d’accepter. Ensuite, j’ai vraiment eu un bon contact avec les chefs de projets et les directrices de pôle. Il faut savoir qu’un stage en agence est toujours très bien vu dans le monde du marketing. Cela permet d’être très polyvalent et de développer une solide expertise dans une domaine très précis.

Pour information, Isobar est une agence de marketing digital global du groupe Dentsu Aegis Network. Intégration 360, tel est le credo de l’agence ! je vais avoir l’occasion de travailler aux réponses des briefs des annonceurs, à la conception et production des projets dédiés aux clients et je serai également en contact avec les clients. Je travaillerai dans le Studio de l’agence, sur des projets dits de courte durée (3/4 mois). Je pense ainsi acquérir une forte adaptabilité et pouvoir développer mon expertise digitale.

Beaucoup de personnes autour de moi (chez Danone ou ailleurs) m’ont confirmé qu’un stage en agence est vraiment un atout pour compléter un profil.

Je n’hésiterai pas à vous raconter mon expérience en agence jusqu’à Août 2015 !

Si vous avez des questions, n’hésitez pas !

C’est la fin de mon stage chez Danone !

Après 6 mois au sein de Danone, je finis mon stage vendredi. Les 6 mois sont passés tellement vite ! Je ne me rends pas compte de tout le temps qui est passé. Je tire un bilan très positif de cette expérience.

J’ai rencontré des personnes très inspirantes, motivées et passionnées par leur travail et leur entreprise. Elles m’ont donnée envie de trouver une entreprise dans laquelle je peux établir mon parcours de vie et progresser.

Chez Danone, la culture d’entreprise n’est pas que des mots écrits sur un site internet. Ces notions de partage, d’écoute et cet esprit d’initiatives sont réellement présents au quotidien. Par exemple, j’ai pu visiter le centre de recherche Palaiseau de Danone dans le cadre de mon stage.

Je suis ravie d’avoir eu l’opportunité de faire un stage là-bas : j’en sors grandie, plus mature, plus sûre de moi et prête à relever de nouveaux défis. En effet, j’ai senti que mes responsables me faisaient confiance. J’ai appris à travailler en toute autonomie, encadrée par mon manager mais toujours avec une certaine distance pour m’apprendre à gérer mon travail. J’ai remarqué l’importance de l’esprit d’équipe également ne serait-ce que dans les projets où chacun peut demander de l’aide autour de lui.

Chez Danone
At Danone Place Paris, #interns know how to turn Mondays into fun days! Post Work@Danone sur Facebook

J’ai compris que le management de projets m’attirait pour le futur. Je ne sais pas encore dans quel domaine/secteur et dans quelle spécialité du digital. Tout cela reste à voir par la suite. Cependant, ce stage fut pour moi la chance de découvrir le fonctionnement d’une grande entreprise notamment en étant au cœur de l’entreprise au service communication corporate. Je regrette de ne pas avoir eu une approche plus conso/produits et je pense donc poursuivre sur du marketing digital principalement et non plus en communication corporate.

Si vous en avez l’opportunité, n’hésitez pas à réaliser un stage chez Danone ! « Ca fait grandir ! »

Le suivi des stages par l’EM Strasbourg

Il n’est pas rare qu’un stagiaire se fasse exploiter au sein de l’entreprise dans laquelle il travaille. Si les salaires / conditions de travail ne sont pas toujours simples,mon école l’EM Strasbourg a mis en place un système de suivi des stages de césure mais également de fin d’études en accord avec une association. Des tuteurs nous sont attribués et suivent entre 5 et 10 étudiants. Le but est d’éviter de se retrouver à faire des stages photocopies et d’assurer un suivi régulier de l’évolution du stagiaire dans l’entreprise.

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Comment cela se passe ? Le tuteur est sensé vous contacter de lui-même au début de votre stage. Je dis bien sensé car parfois, il ne fait pas le premier pas et vous devez aller le contacter de vous-même (dixit d’autres étudiants) Pour ma part, je fus chanceuse car je suis tombée sur un ancien ingénieur des mines à la retraite qui s’intéresse réellement à mon parcours. Il m’a cependant contactée trop tôt : je n’avais pas encore débuté mon stage ! Après une semaine il me demandait déjà des informations sur le déroulement de mon expérience. Je venais à peine d’arriver et j’étais loin d’avoir le recul nécessaire pour fournir des réponses construites et utiles pour mon interlocuteur.

Finalement, nous avons fixé un premier rendez-vous en face à face. L’échange s’est très bien déroulé : je lui ai expliqué mon travail, mes attentes vis-à-vis de ce stage et mon ressenti après un mois sur place. Il m’a également parlé de son parcours et de la raison pour laquelle il s’occupait d’étudiants. Mon tuteur n’était pas là par hasard : il souhaitait vraiment apporter un regard extérieur.

Le deuxième rendez-vous a eu lieu vers le milieu de mon stage. Après 3 mois chez Danone, j’avais besoin d’un feedback et également de détailler davantage mon travail à mon tuteur. Mon manager a établi un bilan très positif concernant mon stage et mon travail : avoir un feedback est important pour savoir nos axes de progression Quant au tuteur, il est là pour repérer les stages abusifs et sans missions réellement bénéfiques pour le stagiaire. Il s’assure de la cohérence de l’expérience avec les attentes de l’étudiant.

Le dernier rendez-vous a lieu en fin de stage avec le manager de l’entreprise. C’est le moyen de faire un bilan complet sur l’expérience au sein de l’entreprise.

Le point négatif est que je n’aurai certainement pas le même tuteur pour ma deuxième partie de césure. C’est dommage puisque le suivi ne sera pas complet. Je pense suggérer l’idée à mon école. Le système a d’autres limites puisqu’aucun suivi n’est possible si vous faites le stage à l’étranger (dommage car au vu des nombreux moyens de communication actuels, il serait simple d’organiser une session skype ou téléphonique).

Le système de suivi étant récent, je pense qu’il y a encore des efforts à poursuivre du côté de l’organisation : chaque tuteur devrait prendre son rôle au sérieux vu que le prix de la césure est de 800 euros. Les étudiants s’attendent à être pris en charge de A à Z sur le suivi et ils ne souhaitent pas courir après les informations. Je pense tout de même que c’est une excellente chose d’avoir lancé ce système : pour ma part, je me sens bien encadrée. Mon école a ainsi des retours sur le parcours individuel de ses étudiants.

Si vous êtes étudiant à l’EM Strasbourg, n’hésitez pas à laisser votre point de vue (bon ou négatif) sur ce système ! Par ailleurs, vous pouvez tout à fait laisser un commentaire si vous aussi, dans votre formation, vous avez eu un suivi.

La recherche de césure: Fixer ses objectifs

Depuis le mois de Janvier, je suis en recherche active d’un stage de césure. Cet article est là pour vous donner ma vision de cette recherche et également quelques conseils d’après mon expérience. Cet article sera le premier d’une série dédiée à la recherche d’une césure. Voici ma manière de rechercher une césure (ce n’est pas une source universelle mais j’espère que cet article pourra quand même vous aider à vous lancer).

Ca y est, vous en êtes sur, l’année prochaine, vous faites une césure ! C’est selon moi une excellente idée afin de gagner en expérience et de vous fixer davantage sur vos ambitions personnelles. Voici quelques conseils pour être efficace  dans une recherche de stage :

LES PREMIERES QUESTIONS

Il est important de répondre à des questions classiques :

  1. Combien de mois de stage souhaitez-vous faire ? (plus vous en faites, plus vous allez retirer de l’expérience)
  2. Préférez-vous faire deux stages ou un stage très long ? (Aujourd’hui, la loi est assez complexe sur ce sujet mais d’après ce que je vois, des entreprises proposent encore des stages de 12 mois.)
  3. Dans quelle zone géographique devez-vous chercher ? De nombreux critères détermineront où vous établirez votre recherche. Pour ma part, je cherche spécialement en région parisienne car je viens de là-bas. Cependant, vous pouvez être mobile en France entière ou bien même décider de chercher une césure à l’étranger. (Je parlerai dans  cet article uniquement de la recherche en France)
  4. Quels domaines vous intéressent ? Finance, comptabilité, marketing, les domaines sont très variés et surtout, vous trouverez une infinité d’offres différentes dans chacun d’entre eux. Il faut déterminer quelles sont les missions qui vous plairaient. Par exemple, vous souhaitez faire un stage en marketing : c’est un domaine vaste ! Marketing produit, category management, trade marketing, à vous de choisir ce qu’il vous plairait de faire et surtout, sachez pourquoi vous souhaitez avoir une telle expérience. Vous pouvez hésiter entre plusieurs domaines bien entendu, la césure sera là pour vous aider à expérimenter l’un et l’autre.
  5. Quelles industries attirent votre attention ? Après le domaine, c’est le choix du secteur qui s’impose. Au début de votre recherche, vous pouvez être sélectif. En effet, vous n’avez pas encore de retour sur votre profil. Agroalimentaire, aéronautique, énergie, tourisme, high tech, luxe, cosmétiques, assurance, banque, textile mode, transport, telecom… le choix est large !
  6. Dans quel genre d’entreprise voulez vous travailler ? Plutôt start-up ou grande entreprise ? A vous de choisir ce qui vous plairait de faire. Il est possible de faire deux stages dans deux entreprises de taille différente. Si vous ne savez pas, laissez vous le temps de découvrir un peu le marché du travail.

LA SUITE DU PROCESSUS

Inscrivez-vous sur des sites de recherche de stage. La plateforme que je vous conseille le plus s’appelle Jobteaser : elle répertorie tous les jours les offres de stage (la plupart 6 mois et plus). de grandes entreprises mais également de certaines startup. La navigation et l’utilisation du site sont très simples et optimales pour avoir rapidement toutes les nouveautés. Si votre école a un compte sur la plateforme, vous pouvez également avoir accès à des évènements professionnels.  Je l’utilise tous les jours afin d’avoir une actualisation rapide des nouvelles offres.

La deuxième plateforme intéressante selon moi est Kapstages et là encore, il est très simple d’obtenir les informations que vous désirez. Les mises à jour sont quotidiennes et répertorie davantage d’offres dans des PME, agences etc.

Une autre solution est envisageable dans une recherche de césure en ESC : faites jouer le réseau ! Beaucoup de personnes racontent qu’une scolarité en ESC, payante, se valorise surtout grâce au réseau. L’intranet de votre école vous fournira énormément d’informations sur les Alumni (anciens et diplômés de l’école) sur les anciens stages effectués par les étudiants et enfin vous trouverez des offres de stage envoyées spécifiquement à votre école.

Le dernier moyen pour chercher des annonces est tout simplement de vous rendre sur le site des entreprises. N’oubliez pas, les PME représentent 90% des entreprises en Europe. Les grosses entreprises ne sont pas les seules sur le marché.

PETIT MOT POUR LA FIN

Mon dernier conseil sera de ne jamais vous dévaloriser. il faut toujours tenter, viser haut, quitte à diminuer ses prétentions par la suite. Vous êtes un candidat, certes, mais vous avez justement beaucoup à revendre et à apporter à une entreprise ! Soyez confiants et persévérants : ce n’est que le début… !

Je vous retrouve bientôt avec le prochain article de la série qui traitera sur le travail à faire sur le CV et la lettre de motivation. Si vous avez des questions, je me ferai un plaisir d’y répondre.

La journée typique du community manager pendant le stage admissibles

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Vous vous demandez certainement ce que je fais globalement de mes journées en tant que community manager du stage admissibles… Petit tour dans les coulisses. (Petit détail : nous sommes deux et je fais le créneau après-midi/soir)

10h30 : réveil avec petite douche pour bien ouvrir les yeux. On enfile un polo rouge typique de l’EM Strasbourg, un short (et oui, depuis le début du stage, je n’ai jamais mis de jean, la chaleur est présente à Stras !)

11h15 : départ pour l’école.. 10 minutes de marche top chrono.

11h25 : arrivée à l’école. Je pose mes affaires, j’allume mon ordinateur que je mets en charge. J’aide où il y a besoin (animation, émargement, accompagnement.)

12h : heure du repas. Le repas du midi est offert aux staffeurs et admissibles. Je mange généralement avec des admissibles !

12h30 : direction l’amphi pour le mettre en place (lumières, son, vidéo…)

13h : amphi de présentation. Tous les staffeurs accompagnent les admissibles. Nous mettons l’ambiance !

13h23 : chorégraphie chevronnée et intensive sur les tables.. AMBIIIAAANCE !

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13h35 : connexion sur l’ordinateur.. Mails, messages et publications facebook, il s’agit de répondre le plus rapidement possible et de manière constructive. Les admissibles n’attendent pas ! Avec mon acolyte Laurent, autre CM mais du créneau du matin, nous parlons des publications du jour à poster « un jour un chiffre » « un jour une université partenaire… » Nous vérifions auprès des managers qu’aucun message n’est à transmettre.  J’effectue une veille sur les forums, recueille les témoignages des admissibles et m’assure que chaque admissible obtient une réponse à ses questions.

15h30 : petite pause goûter dans la salle du bar en discutant avec des admissibles. Pause possible près de la piscine avec des admissibles également.. Mais attention, un community manager se doit d’avoir toujours son téléphone sur lui, avec les notifications facebook bien entendu. Si message => réponse obligatoire.

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16h30 : retour sur l’ordinateur.

18h30 : la journée se calme un peu mais il faut continuer à veiller. Alors que les messages se font plus rares, je vais aider les animateurs mais également les admissibles à trouver leur chemin.

A l’occasion : si un admisseur a besoin d’infos sur une programme pour un admissible, je vais les voir afin de donner des infos fiables le plus rapidement possible. Idem pour le standard.

20h : fin de journée à l’école. Je rentre chez moi (mais généralement je reste 1h de plus.) A savoir : le repas du soir est fourni quand vous êtes du soir.

Scénarios du soir…

20h15 : retour chez moi. Connexion sur l’ordinateur toute la soirée… pour répondre aux admissibles !

OU

19h30 : départ pour le restaurant avec les admissibles : accompagnement, discussions, repas…Jusqu’à 22h.

 

 

Les questions les plus fréquentes des admissibles

Aujourd’hui, je me charge de répondre aux questions les plus fréquentes des admissibles sur l’école de management de Strasbourg. Vous devez sûrement vous poser les mêmes alors, lisez attentivement ce billet !

Si vous intégrez après Passerelle 1

Vous suivrez une année généraliste en gestion. Par la suite, vous décidez soit de rester sur Strasbourg en parcours associatif soit de partir en master 1 à l’étranger. Dans le premier cas vous partirez à l’étranger en master 2. Seuls ceux partis en master 1 à l’étranger pourront accéder aux doubles diplômes sur Strasbourg en master 2 ainsi qu’à l’apprentissage. Vous êtes classés selon vos notes du 1er semestre.

Si vous intégrez après Passerelle 2

Vous effectuez obligatoirement votre année de master 1 sur Strasbourg. Vous choisissez votre spécialisation après 3/4 jours de remise à niveau. Au choix : marketing/vente, management, RH et management interculturel, finance audit compta, management systèmes d’informations, supply chain management… Vous aurez, qu’importe votre spécialisation, des cours en tronc commun comme marketing avancé.C’est sur ce tronc commun que vous serez classé à la fin du premier semestre. Vous devez effectuer votre master 2 à l’étranger en université partenaire SAUF si vous avez déjà passé 4 à 6 mois à l’étranger dans votre cursus antérieur.

Pour tout le monde

L’année de césure est facultative. Elle peut être choisie à n’importe quel moment du cursus : après la L3, le M1 ou après le M2. Cela dépend totalement de votre parcours et projet professionnels.

Une LV3 : allemand, italien, espagnol, russe, chinois, japonais peut être choisie. Totalement gratuite.

Quelles sont les sortes de double-diplômes existants ?

Vous avez accès des doubles diplômes entre l’EM Strasbourg et l’université de Strasbourg ou d’autres organismes. Vous avez également accès à des doubles diplômes à l’étranger entre l’EM Strasbourg et une université partenaire. Vous avez aussi les MBA, moyennant un coût supplémentaire, que vous pouvez suivre après votre master 2 dans une quatrième année.

Quelques exemples d’emploi du temps… 

emploidutpstypeBien évidemment, les emplois du temps varient d’un groupe à l’autre. C’était un exemple d’emploi du temps en 1ère année.

Peut-on concilier job étudiant et cours ?

Oui ! Vous réussirez à concilier job étudiant, cours et vie étudiante. Je vous parie que cela ne sera pas toujours simple mais vous pouvez trouver des job étudiants grâce à la Job’s service, association de l’école. Par exemple, j’ai trouvé un job de commerciale sur des salons de mariage qui m’a rapporté un peu d’argent et de l’expérience. L’école envoie avec le dossier d’inscription une feuille à remplir si vous désirez avoir un job : elle a des partenaires. J’ai un ami qui a ainsi rempli ce papier et il a ainsi travaillé aux Galeries Lafayette en temps que vendeur tous les samedis. Leclerc, Auchan, Flam’s, Hollister, Abercrombie.. les Emiens trouvent souvent des petits jobs et ils arrivent à tout gérer. Cependant, cela demande une certaine organisation.. ce n’est donc pas pour tout le monde !

Si vous avez d’autres questions, posez les moi, j’éditerai ;)

Un stage admissible en préparation


Les cours étant terminés je dois dire que je ne regrette pas d’avoir choisi ce stage car une ambiance de franche camaraderie s’est installée.

Ce stage n’est PAS un stage de fainéant, et oui les horaires sont chargées puisque nous devons déjà tout préparer pour les admissibles qui arrivent début juin.

Petite photo présentation :)

Nous faisons du 9h – 17h pour le moment, voire plus, afin que chaque pôle s’occupe de ses affaires. Au sein du pôle Multimédia nous répondons aux emails, publications et messages privés en gérant la page facebook et twitter des Admissibles. Il s’agit d’être réactif et nous nous relayons afin de répondre au mieux aux attentes des candidats. J’ai fait également un petit passage au pôle phoning pour renseigner des candidats ce qui me donne encore plus envie d’être la semaine prochaine pour être en contact direct avec eux.

C’est vrai que la fatigue se fait déjà sentir mais je pense que ce sera encore plus intense lorsque les oraux vont franchement débuter. Il s’agit d’une immense organisation et je sais que chacun donne son maximum. Nous sommes d’ailleurs encadrés par 4 personnes finissant leur 2e année ce qui nous permet d’avoir une marche à suivre.

Le soleil sera présent dès lundi pour l’accueil des candidats… Sortez les maillots :) !

Prévisions météo

 

Dossier Spécial Départ à l’étranger : 2/4

Cet article sera destiné à tous les étudiants de mon école mais également aux potentiels candidats de l’école qui s’interrogent sur les départs à l’étranger. L’EM Strasbourg propose une diversité de destinations appréciée. Pour être plus concrète,  j’ai demandé à quelques étudiants de témoigner sur les destinations qui leur plairaient…

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Claire a choisi … L’Allemagne

« Pour ma part je pense que chaque étudiant fait ces études suite à un choix stratégique, je fais de l’allemand depuis la 6e au détriment d’autres langues vivantes, et je me demande à quoi auraient servi mes efforts si cela ne m’était d’aucune utilité.Actuellement en parcours franco-allemand malgré un allemand médiocre (déprimant au bout de si longtemps), je pense qu’aller en Allemagne, puissance économique en Europe, en recherche de population active, pays voisin, me parait tout à fait judicieux.L’Allemagne peut paraître peu exotique, mais j’ai toujours eu l’impression que c’était mieux que la France, c’est vraiment un pays qui me fait rêver et j’espère ne pas être déçue.Les universités y sont nombreuses, les places demandées, mais cependant moins prisées que les pays anglophones. Croisons les doigts en attendant les résultats ! »

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Gauthier préfère.. les pays d’Asie

« L’Asie, c’est un peu la plaque tournante du commerce actuel et elle tend à la devenir de plus en plus. Pour moi qui cherchait à partir dans un pays en développement, les destinations de l’EM étaient d’emblée intéressantes. Avec 6 partenariats en Inde, autant en Chine et presque une vingtaine dans d’autres pays asiatiques, je ne pensais pas rencontrer trop de problèmes pour partir. Cependant, l’Inde étant considérée comme une destination à part (elle exige une certaine maturité que les 2A n’auraient pas), la plupart des destinations ne sont accessibles qu’en 3A. Mon rêve de partir à New Dehli s’est donc envolé. En ce qui concerne les autres pays asiatiques en développement, la Thaïlande et l’Indonésie exige le TOEFL (que je n’ai pas passé pour des raisons financières). Reste le Vietnam, où la possibilité nous est offerte de faire un double diplôme avec les universités d’Hanoi ou de Ho Chi Minh City. Ayant déjà voyagé dans cette partie de l’Asie, j’avoue être très tenté par cette destination. D’autant plus que grâce à l’Ent, j’ai pu entrer en contact avec les étudiants étant déjà sur place. Sur ce point, le réseau de l’EM s’est avéré très utile et réactif. »

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Victoria se lance au Mexique !

« Pour ma part, j’aimerais aller au Mexique. Au départ, je souhaitais un pays anglophone mais vu la demande pour ces destinations je me suis dit autant améliorer ma LV2 et aller chercher un peu de soleil et d’exotisme en Amérique Latine ! Mon choix c’est dirigé naturellement vers cette destination puisque je pourrais suivre des cours en anglais dans leur université (un bon compromis pour travailler à la fois l’anglais et l’espagnol). Et puis après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’opportunité de partir 1 an à l’autre bout du monde, donc autant en profiter ! Le Mexique est plutôt accessible puisqu’il y a pas mal de places ! J’en suis ravie mais quelques peu inquiète que les autres étudiants se redirigent vers cette destination une fois le classement dévoilé ! J’espère pouvoir découvrir les plus belles plages de Cancún et visiter ce beau pays l’an prochain ! »

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Emilie se focalise sur le continent Européen…

« La mobilité internationale a été un facteur décisif dans le choix de mon école de commerce. L’Em Strasbourg est alors apparue comme une évidence. Un an, deux semestres consécutifs dans une université partenaire à l’étranger, ça me fait rêver, mais le moment du choix de la destination est arrivé beaucoup plus vite que ce que j’imaginais. Où partir ? Pour ma part, j’ai surtout envie d’être dépaysée et de pratiquer et améliorer mon anglais. Cependant, et je ne le nie pas, je ne me sens pas encore prête à partir à l’autre bout du monde ce qui impliquerait de ne plus voir ma famille et mon copain pendant un an. C’est pourquoi mes choix de destinations se sont tous portés vers des pays d’Europe. Dans l’idéal, j’aimerais intégrer The University College à Cork en Irlande à la fois parce que les cours proposés et les modules y sont très variés, mais aussi parce que l’ambiance du campus est paraît-il idéale et surtout parce que l’Irlande est un pays qui m’attire depuis plusieurs années. Mais ce choix n’est pas fermé, ni fixé. J’ai aussi consacré notamment  un vœu à l’Università degli Studi di Pavia en Italie pour travailler à la fois l’anglais et l’italien dans une université bilingue, ainsi qu’un vœu à The University of Economics and Business à Athènes en Grèce pour partir à l’aventure dans un pays et une culture qui me sont totalement inconnus. Désormais, j’attends avec impatience de découvrir le verdict final, mais quoiqu’il en soit, je suis persuadée que l’an prochain sera bénéfique pour tous les élèves. »

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J’ai choisi… l’Amérique !

« J’ai toujours eu envie de vivre le rêve américain et on peut dire que l’EM Strasbourg exauce mon souhait ! Beaucoup d’universités partenaires aux Etats-Unis proposent des places notamment Tulane University à la Nouvelle Orléans ou encore l’université de San Diego. Mais il existe aussi des universités moins connues, moins exigeantes avec le score TOEFL ce qui implique que tous les étudiants ayant obtenu 79 au TOEFL peuvent avoir une destination (il reste des places chaque année). Je suis également très intéressée par le Canada mais évidemment, c’est beaucoup plus demandé car il n’y a pas de TOEFL. HEC Montréal m’intéresse particulièrement là-bas. On verra ce que donne le classement ! »

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Enfin Isabelle nous parle de ses ambitions… avec des destinations originales !

drapeauCoree_du_sud« Amatrice de taekwondo et passionnée de cinéma coréen, c’est tout naturellement au pays du Matin calme que j’aimerais atterrir. J’ai vraiment envie de vivre une année unique, de côtoyer les générations, de connaître la vie à la coréenne et de découvrir cette culture qui me plaît et me fascine (sans oublier les pays alentours). Et si je n’ai pas la Corée ? Et bien j’irai au Kazakhstan. ‘’Par défaut’’, ‘’Destination trop pourrie, pas fun’’ comme beaucoup le pensent. Qu’ils se détrompent. J’ai réellement à cœur de partir là où peu (voire pas) de personnes partent afin de profiter un maximum de cet endroit et de ses singularités. Je veux juste que tout ce que je puisse faire ou entreprendre soit quelque chose qui m’appartienne, pour mieux le partager ensuite. Le Kazakhstan n’est pas un pays auquel j’avais pensé, c’est même l’inconnu total pour moi ! Comme pour la Corée, j’ai cherché à savoir si cette destination correspondrait à mes envies personnelles et à mes projets futurs, et maintenant que c’est fait, alors je dirais que oui ! Pour la première comme pour la deuxième destination, je pense qu’elles me construiront davantage personnellement et qu’elles me pousseront à aller au-delà de ce que je suis aujourd’hui. »

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Découvrez cette petite vidéo réalisée en 2012 par le Bureau du Multimédia « Around the world ! » Plusieurs étudiants ont contribué à sa réalisation…

Enfin voici une petite galerie regroupant des photos de plusieurs destinations possibles (universités, villes) avec l’EM Strasbourg.

N’hésitez pas à poser des questions si vous en avez !

Dossier Spécial Départ à l’étranger : 1/4

Après avoir longuement parlé des classements et départs à l’étranger, il me semblait normal de vous faire partager mon stress et l’attente avant les résultats. Les premières notes des partiels tombent. J’ai réussi à avoir 15,3 en informatique, espérons que la suite sera aussi bonne ! Le compte à rebours est lancé avant la date butoir : le 18 février 2013. Nous saurons alors où nous irons l’année prochaine en échange universitaire sachant que l’école a des partenariats dans énormément de pays et sur chaque continent. Chaque année, de nouveaux partenariats fleurissent : cette année, par exemple, a ouvert en Australie un partenariat avec une université à Adélaïde. Les places disponibles dans chaque université ont été annoncées et près de 550 places sont disponibles pour 450 étudiants sur le départ…

J’ai décidé de partir en deuxième année. Pourquoi ?

Moi à Strasbourg

- Si vous souhaitez faire de l’apprentissage en dernière année, il faut absolument partir en deuxième année. C’est mon cas.

- Je voudrais faire une césure dans une grande entreprise, or même pour un stage, un niveau d’anglais courant est demandé… Cela sera donc plus pertinent au retour d’un an à l’étranger.

- Et en dernière raison, plus de places sont disponibles pour les départs en deuxième année plutôt qu’en troisième année car les étudiants sont plus nombreux à choisir la première option.

Il a choisi de partir en troisième année. Pourquoi ?

Julien

- Si vous souhaitez suivre le parcours associatif de deuxième année, faites comme Julien, un de mes camarades de promotion. Il est actuellement dans une liste BDE et souhaite assurer l’ambiance à l’école l’année prochaine ! Surtout au WEI à ce que j’ai pu voir… :p Il a également comme projet de contribuer au BDP (Bureau de Presse), et oui, il est possible de participer à plusieurs associations et ce parcours sera ensuite évalué :)

- La première année est très intense. « J’aimerais avoir le temps de bien travailler mes cours et de préparer avec plus de recul le TOEFL. Le classement est important et rien ne doit être laissé au hasard. »

- « Je me sens bien à Strasbourg et j’avais envie de rester. » Comme quoi, ça peut vraiment être aussi simple que ça ! ;)

  • Le système de voeux

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Tout se déroule sur l’intranet de l’école. Vous devez indiquer six choix parmi les universités proposées. En soi, cela n’est pas pertinent tant que vous ignorez votre classement… Mais j’ai pu déjà voir que les universités en Irlande et au Royaume Uni étaient très demandées par les étudiants. Chaque faculté a sa propre fiche avec les indications nécessaires : score TOEFL obligatoire ou non (si oui, le score minimum demandé) les adresses web des universités, l’accès à la liste de cours possibles et d’autres modalités par exemple d’ordre financière ou concernant les assurances. Le service international est là pour nous répondre si nous avons des questions. Vous pouvez voir sur la page Demandes combien de personnes ont mis telle ou telle université dans leurs voeux et à quelle place. En cliquant dessus, vous verrez même leur classement en temps voulu.. Exemple : vous avez choisi le Trinity College à Dublin en voeu 1. 3 personnes l’ont mise en voeu 1. Vous avez donc deux concurrents. En cliquant vous verrez s’ils sont mieux classés que vous. Or s’il n’y a qu’une place, vous êtes sûrs de ne pas l’avoir.

  • Les petits soucis du système

Il existe souvent quelques bugs informatiques qui empêchent le bon fonctionnement. Mais le plus souvent ils sont réglés rapidement.

Concernant le nombre de places attribuées, on peut se demander pourquoi il n’y a souvent qu’une place disponible dans certaines facultés ce qui rend leur accès très difficile. De plus, certaines fiches sont mises à jour souvent très tard (notamment sur les scores TOEFL obligatoires ou non). Je préfère quand même indiquer que le service international est très occupé et qu’il se doit de gérer le départ de centaines de personnes. Par ailleurs, on peut dire que ses membres ne chôment pas puisqu’ils prennent le temps de nous répondre et également de contacter une à une chaque université et de les relancer pour demander plus de places. Souvent, les universités partenaires établissent elles-mêmes leurs critères de sélection. C’est identique dans chaque école.

La suite à venir dans un prochain article…