Etudiante à @emstrasbourg après un DUT Information communication à Paris. Ambassadrice et blogueuse officielle @ecoles2commerce.com
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Après mon retour, j’ai décidé de passer le test d’anglais appelé TOEIC communément demandé par les entreprises. Ce test (dont vous pouvez découvrir les subtilités sur le site Ecoles2commerce.com) demande quand même une certaine préparation. Ce score TOEIC est aussi demandé par mon école pour valider le diplôme.
Pour ma part, j’étais un peu stressée (lorsqu’il y a un enjeu, le stress est forcément là !) mais j’étais aussi confiante car j’avais bénéficié de la meilleure préparation possible : l’immersion à l’étranger. J’ai appréhendé l’épreuve en étudiant sa forme (les différentes parties en détails, les règles et la forme à respecter).
Pour cela, j’ai utilisé Internet avec les sites englishteststore.net ainsi qu’english-test.net/toeic. Lire des témoignages m’a permis d’être plus sûre de moi. Mon conseil est vraiment de s’entraîner sur des tests blancs comme ceux de LONGMANN. Ils sont vraiment bien (j’en ai fait un qui m’a permis de me mettre en conditions réelles).
Si vous avez un petit niveau, n’hésitez pas à regarder séries, films en VOST et à écouter les radios anglaises.
Pour ma part, l’examen s’est bien déroulé. J’avais rendez-vous rue Taitbout à Paris : arrivée en avance comme indiqué sur la convocation, j’ai été m’installer dans la salle à ma table attribuée. Les règles sont strictes : ne pas écrire sur le fascicule par exemple !
L’épreuve a duré 2 heures. Je l’ai trouvée plutôt simple. Le problème reste la concentration si vous n’avez pas l’habitude d’écouter de l’anglais ou d’en lire. Les termes business très techniques peuvent poser problème à certains. Le surveillant indique lorsqu’il vous reste 30, 15 puis 5 minutes pour que vous puissiez gérer votre temps. Il ne faut surtout pas oublier sa carte d’identité et sa carte étudiante.
J’ai reçu le score 2 semaines après par courrier (correction normale). Mon score est de 965 sur 990, valable deux ans. Si j’ai obtenu tous les points de la partie Listening, j’ai commis quelques petites erreurs en Reading. Malgré tout je suis ravie d’avoir obtenu ce score.
Je débute une série de témoignages sur des anciens du DUT communication des organisations de l’IUT Paris Descartes. Voici celui de Camille, aujourd’hui étudiante au CELSA. J’espère que vous pourrez ainsi appréhender les débouchés de cette formation.
« Après un BAC ES, j’ai intégré le DUT Information et Communication option Communication des organisations de l’I.U.T. Paris Descartes. Je garde un très bon souvenir de cette ambiance de classe où l’on alternait cours pratique et théorique. Surtout, celui-ci m’a donné l’opportunité de partir un semestre en Angleterre. Cette expérience ERASMUS a été géniale. J’ai non seulement amélioré mon anglais mais j’ai pu dépasser mes limites et rencontrer des jeunes du monde entier. Autre élément qui me fait conseiller la voie du DUT : deux périodes de stages obligatoires. Il me semble que c’est essentiel avant de continuer ses études supérieures d’avoir une idée concrète de ce que l’on nous enseigne.
A la fin de ces deux années, je rencontrais le premier dilemme de ma vie étudiante. Que choisir entre deux licences radicalement opposées ? Celle professionnalisante ou l’autre universitaire ? Tous les avantages de ce DUT sont résumés ici : il permet le grand écart, de ne pas s’enfermer dans une discipline précise ou dans un parcours préalablement défini. Oui, mais pour quelqu’un perpétuellement tiraillée entre le choix de la raison ou celui du cœur, cette liberté ne facilite pas la prise de décision. Dans cette ambiance morose où le CV d’un étudiant doit toujours rivaliser d’expériences diverses et si possible internationales, il aurait fallu choisir la formation qui permette d’obtenir l’un des précieux sésames vers un premier emploi : le stage de 6 mois. Sauf que frustrée de ne pas avoir, au cours de mes études, exploré de nouveaux horizons qui contribueraient à alimenter ma culture générale et ma curiosité, le choix du cœur fut donc d’intégrer l’Institut Français de Presse de Panthéon-Assas.
Cette licence spécialisée dans le domaine des médias aborde seulement quelques matières mais de manière particulièrement approfondie et étayées par des T.D. studieux. A la fin de cette année universitaire, nouveau dilemme : que faire après ?Cette fois-ci, je choisis l’alternative professionnalisante, d’ailleurs je trouve rapidement mon contrat d’alternance pour deux ans. J’ai oublié de préciser que comme beaucoup d’étudiants en communication, j’ai déjà passé des heures explorant les pages du site internet du Celsa rêvant d’approcher cette école qui fait tant parler – surtout les recruteurs. Voilà pourquoi j’avais repassé le concours en avril 2013, après l’avoir raté une première fois, pour n’avoir aucun regret. Malgré le fait que je plaçais cette école de la Sorbonne sur un piédestal, je n’avais pas eu le temps de préparer les épreuves. Le jour du concours, contrairement à ma nature anxieuse, je n’avais aucun stress ou appréhension. En effet, persuadée de ne pas avoir le niveau pour y rentrer, j’étais déjà tournée vers mes deux prochaines années d’alternance. Bien que j’ai apprécié de faire mes stages aux sein d’entreprises, j’ai postulé au parcours Médias et Communication, là encore un choix du cœur.
Et là, admissible aux oraux. Avec le recul, il est évident que la licence à l’IFP était la meilleure préparation possible.
Il est admis, les statistiques le montrent, que les BTS et les DUT sont largement minoritaires à franchir cette étape contrairement aux personnes issues des classes préparatoires. La première explication qui vient à l’esprit est que ces élèves sont mieux entraînés aux épreuves écrites. Cependant, je considère que l’explication la plus significative est qu’il est normal que l’on retrouve un à deux étudiants par classe seulement de ces filières aux oraux s’ils ne candidatent pas ! Un fort manque de confiance engendrerait cette autocensure. C’est vraiment dommage surtout lorsque l’on sait que ces étudiants habitués aux exposés, travaux de groupe et aux problématiques concrètes sont généralement plus à l’aise dans l’exercice qu’est l’entretien individuel. De plus, ayant déjà des expériences professionnelles, ils seront normalement plus précis dans la formulation de leurs projets, de leurs envies et donc plus légitime à vouloir intégrer un parcours donné par rapport à quelqu’un d’inexpérimenté.
Je suis passée devant un jury de quatre personnes, le dernier jour des oraux, à la dernière heure. Autant vous dire qu’assise toute la journée sur ma chaise, j’ai assisté à beaucoup des premières impressions des candidats sortant. Les récits étaient tous différents. L’entretien dépend vraiment du candidat, de ses réponses et de la manière dont il oriente les interrogations des professionnels et des universitaires.
Mes conseils pour préparer le concours du CELSA seraient de se faire confiance, de cultiver ses centres d’intérêts, de se tenir informé de l’actualité (notamment de la communication avec fastncurious.fr) et surtout d’être sincère le jour d’entretien. Je ne croyais pas du tout en mes capacités mais la seule idée d’avoir des regrets m’a poussé à candidater – une belle surprise vous attend peut-être aussi au bout. »
Comme vous l’avez remarqué, je poste moins d’articles sur mon blog depuis mon retour en France. Il est évident que j’ai moins de choses à partager tout simplement car je suis en vacances. Cependant, j’ai trouvé intéressant de vous montrer quelques photos de mon séjour en Allemagne. Je suis en effet à Brême pour deux semaines (jusqu’au 10 Juin).
L’Allemagne ne fait pas rêver pour de nombreuses raisons,justifiées ou non. Malgré tout, j’ai été agréablement surprise par la ville de Brême puis de Hambourg que j’ai eu l’occasion de visiter un peu. Le beau temps (une vingtaine de degrés, grand ciel bleu et grand soleil) embellit mes journées. Brême me fait penser à Strasbourg en plus grand. La vie est moins chère. Si les allemands ne sont pas toujours aimables et chaleureux, ils parlent tous très bien anglais. Pas de problème donc si vous ne comprenez pas l’allemand.
Je vous laisse avec quelques photos en espérant que celles-ci vous plaisent. Si vous avez l’occasion, n’hésitez pas à visiter ces deux villes (à 1h15 l’une de l’autre en bus)!
Me voici de retour en France après cette année scolaire passée aux Etats-Unis. Le temps a filé si vite, plus vite que toute autre année. Je reviens donc avec un article qui sera un court bilan de ce que j’ai vécu.
Cette expérience à l’international fut avant tout humaine. J’ai énormément appris sur moi-même et sur les autres. A première vue, il semblerait que la culture ne soit pas si différente (pays occidental, développé…) Et pourtant ! En Indiana, les mœurs et les actes changent radicalement de la France. Cela diffère d’un état à un autre donc je parlerai plus précisément de mon ressenti en Indiana, un état très conservateur. J’ai eu l’opportunité de réfléchir à ma spiritualité et aux religions en général puisque mes deux colocataires étaient très croyantes et pratiquantes. Je ne peux pas vraiment expliquer car cela reste une réflexion personnelle. Cependant, je peux vous assurer que j’ai pu voir des extrêmes. J’ai pu rencontrer des personnes de tout horizon, du monde entier (ma big était chinoise, ma colocataire était mexicaine, mes brothers étaient américains, indiens, pakistanais, indonésiens…) Ce fut un melting pot très enrichissant. J’ai appris à mieux tolérer et à agir de manière plus sage et responsable. Il n’est pas question de jugement : curieuse de nature, je n’ai pas eu de problèmes à aller vers les autres. Je souhaitais seulement apprendre, apprendre… on ne cesse jamais d’apprendre sur les autres cultures. Personne ne s’est jamais vexé de mes questions.
J’ai moi-même répondu à quelques questions que les gens se posaient sur les français. J’essayais de ne pas généraliser mais souvent, je n’avais pas le choix car les américains n’attendaient pas forcément une réponse très développée. La question la plus surprenante qui m’ait été posée fut « est-ce que les français prennent des douches ? » Bien entendu, il s’agit de ne pas se vexer lorsque ces questions fusent. Je prenais souvent cela de manière humoristique et je corrigeais ces préjugés (sortis de je ne sais où !)
Les américains semblaient à la fois curieux mais aussi indifférents à ma situation d’étrangère sur le campus : non seulement les étudiants internationaux sont très nombreux et donc il est commun d’en croiser mais il y a également un certain egocentrisme de leur part. C’est un gros paradoxe difficile à expliquer : parfois, ils sont très ouverts, très sympathiques, très généreux et très curieux. Puis le lendemain, vous croisez les mêmes personnes qui vous ignorent ou sont très froides. Je ne généralise pas, malgré tout c’était une impression fréquente ressentie sur le campus. Les vrais amitiés et relations sont difficiles à tisser car le temps court, je n’avais pas les mêmes habitudes que certains et par ailleurs, j’ai trouvé les contacts avec les américains souvent superficiels.
Je pourrais dire que cela définit mon ressenti global là-bas (excepté avec mes brothers, que j’ai beaucoup fréquenté et donc j’ai pu renforcer les liens avec eux). Les apparences sont très importantes : pour ne pas vous vexer ou blesser, ou en tout cas pour éviter un potentiel conflit, il est commun de refuser une sortie en s’inventant un évènement, un examen de dernière minute. Même si quelqu’un vous déteste, il se montrera toujours souriant et poli avec vous. Je n’étais pas franchement habituée puisque généralement, si je n’aime pas quelqu’un, la personne le sait. Je suis plutôt franche et directe mais toujours avec du tact.
Parlons de l’aspect professionnel maintenant. Cette année m’a avant tout apportée de solides compétences en langue anglaise (écrites et orales). Je parle couramment l’anglais ce qui me fut très utile pour mes recherches de stage. Cela me servira certainement toute ma vie à condition que je l’entretienne ! De plus, les cours étaient très plaisants: les professeurs à l’écoute mettaient leur théorie en pratique via des études de cas, des travaux de groupe et des exemples concrets. Je m’ennuyais rarement en cours puisque je prenais un plaisir réel à étudier. Je pense vraiment que cette année m’a appris à travailler de manière plus méthodique, organisée et à penser différemment.
Enfin, côté personnel, la distance vous rapproche énormément de vos proches. C’est là que vous ressentez toute la force des liens familiaux, amicaux et amoureux. Il est important de toujours rester en contact avec eux (pas trop non plus !) Les repas de famille m’ont manquée parce qu’aux Etats-Unis il est commun de manger un plateau télé tout seul dans le salon, un snack ou au fast food quand le temps presse. J’ai le sentiment que les gens ne prenaient pas le temps de se poser : la vie des américains va à 100 à l’heure entre les cours, le ou les job(s) qu’ils ont, leur vie familiale (beaucoup ont déjà des enfants !) leur vie associative, etc. Ma colocataire travaillait environ 30h par semaine, en plus des cours (12h + devoirs). Les dimanches elle travaillait pour la fraternité et venait aussi aux meetings. Autrement dit, elle ne se reposait que très rarement. Je l’admire beaucoup puisqu’elle réussit à jongler avec son emploi du temps chargé. Maria fut très disponible pour moi de mon arrivée à mon départ.
Je pense que c’est le bilan complet de mon année. Je pourrais en écrire des pages mais j’ai essayé d’être un minimum concise… Si vous souhaitez en savoir plus n’hésitez pas à commenter !
Je reviens avec un article sur mon expérience de recherche de stage J’ai hésité à vous faire vidéo mais je pense qu’un article sera plus simple pour expliquer mon parcours. Avant toute chose, n’hésitez pas à lire ou relire mes articles précédents: Fixer ses objectifs, écrire son CV et sa lettre de motivationainsi que l’étape entretien.
J’ai commencé ma recherche en Janvier 2014 puisqu’il y avait deux offres sorties qui ont suscité mon intérêt J’ai uniquement postulé à celles-là puisqu’il était bien trop tôt pour espérer candidater ailleurs.
Un mois plus tard, ma candidature ayant plu, je suis conviée à mon premier entretien RH. Pour tout vous dire, il s’agissait d’un grand groupe dans le secteur de la beauté : je me suis beaucoup préparée notamment pour maîtriser les enjeux clés de l’entreprise, ses marques, son histoire, ses expériences passées en communication… J’ai très bien vécu cette entretien malgré la forte pression que je ressentais autour de moi. J’ai en effet attendu avec 2 étudiantes venues de l’ESCP et une de HEC que le responsable RH vienne me chercher. Heureusement, les étudiantes ne venaient pas pour la même offre. L’entretien fut très pointumais il s’est passé d’une manière calme et détendue. Je ne savais pas quoi en penser : il est difficile de savoir si un entretien s’est bien passé. Il y a des signes parfois trompeurs chez le recruteur.
Finalement je n’ai pas été retenue pour ce stage. Je l’ai mal vécu au départ car j’espérais beaucoup intégrer cette entreprise. Cependant, il m’a fallu reprendre le dessus. Nous étions mi-février et j’ai continué à envoyer beaucoup de candidatures à raison d’une par jour (minimum) puisque globalement les entreprises ont commencé à diffuser leurs offres à cette période.
Entre mi-février et mi-avril, j’ai géré un fichier excel pour récapituler mes candidatures: j’y inscrivais la référence, le nom de l’entreprise, la division, le département, le titre, date de démarrage et date de la candidature. Je pense que c’est une idée intéressante et utile afin de s’organiser dans ses candidatures et de ne pas être perdu si une entreprise nous recontacte… et qu’on ne se souvient plus de l’offre ! N’hésitez pas à copier/coller les offres dans des dossiers afin de les réutiliser ensuite dans vos préparations d’entretien. Souvent, les offres sont effacées après la première phase de sélection. Evitez de postuler à tout et n’importe quoi au risque de vous éparpiller !
J’ai finalement eu de retours d’entreprises, toutes très intéressantes, et j’ai eu au total 5 entretiens différents dont 3 pour un même poste (secteurs de la grande consommation, des nouvelles technologies, et de la beauté)
J’ai finalement accepté mi-avril un stage au sein du groupe Danone en communication corporate digitale. J’ai postulé via le site. La communication corporate s’articule autour de deux axes : la communication interne et externe. Le but est de travailler à la réputation du groupe auprès de différents publics (consommateurs, fournisseurs, médias, actionnaires, salariés…) J’ai choisi ce stage pour plusieurs raisons: d’une part, mon affinité avec le digital n’est plus à prouver. D’autre part, je pense qu’il est indispensable de maîtriser les outils digitaux afin d’être un bon chargé de communication aujourd’hui. Travailler pour Danone me correspond puisque les valeurs de l’entreprise me parlent beaucoup. J’ai vraiment hâte de pouvoir être en immersion dans cette culture d’entreprise très caractéristique de Danone. Tout le monde connait bien entendu leurs produits et marques mais ce n’est pas uniquement cela qui m’a séduite ! Les trois entretiens téléphoniques avec Danone ont aussi été un moyen pour moi d’en apprendre plus sur l’entreprise et sur son fonctionnement. Même si j’ai été très stressée, vu l’enjeu, j’ai réussi à me vendre et à réellement montrer ma motivation. Je commence en septembre 2014 pour 6 mois !
Mon premier conseilest vraiment de persévérer dans sa recherche. Il est important de se fixer des objectifs hauts tout en respectant certaines règles : faites relire votre CV par plusieurs personnes, ne mentez pas sur vos expériences, soyez honnêtes et personnalisez le. Faites de même pour votre lettre… montrez que vous ne postulez pas par hasard ! Tant que vous n’avez pas eu de proposition de stage concrète par une entreprise, continuez à envoyer des candidatures. On ne sait jamais !
Mon deuxième conseil serait de ne pas baisser les bras même si des retours négatifs (ou pas de retour le plus souvent) vous parviennent. Globalement, la concurrence est très rude : vous ne pouvez pas espérer gagner à tous les coups ! Sachez baisser vos exigences si votre recherche s’annonce un peu trop ardue…
Dernière remarque: je n’ai eu aucune question en anglais ou sur mon niveau d’anglais lors de tous mes entretiens. Je pense que mon année à l’étranger fut une preuve suffisante. N’hésitez pas à indiquer votre TOIEC ou TOEFL le cas échéant !
Si vous désirez plus de conseils pour votre recherche de stage et/ou apprentissage, je me ferai un plaisir de vous répondre.
I spent one week end in Nashville, Tennessee for Easter Break. I took the bus for 6 hours in order to come to the country music city. It was actually very cheap (16$) for a round-trip. Another exchange student decided to visit this city with me: Alexia, it’s her name, is currently studying at Canisius College in Buffalo. At first, we were supposed to go to a concert but the singer was sick. We were a little bit disappointed but then, we found out that Nashville was an amazing city for young people and students.
Despite the fact that Nashville is totally lost in the middle of nowhere, this city is constantly in move. There is always something to do. Alexia and I found an accommodation in a hostel (Nashville Downtown Hostel) very well located, cheap, very spacy and, more important, very clean. The real thing I found really important while choosing the hostel was the cleanness. You cannot imagine how hard it is to stay in a disgusting place with bugs and dirty beds… We shared our dorm with two nice American girls.
Nashville is very famous for its Broadway Street which gathers all country bars. It is very easy: each bar hosts a music band and the ambiance is just awesome. Prices are very cheap, especially for alcohol drinks. On Saturday afternoon, at 4, all the bars were crowded and people were singing, screaming and dancing. They were very friendly and welcoming. Being a foreigner is not a problem since we met an American singer who allowed us to get free drinks into a bar. Really nice, isn’t it?
The most wonderful time I had in Nashville was in the 417 restaurant downtown. First, this place looks like a post-World War II restaurant with the decoration and paintings on walls. Second, the breakfast was cheap (as usual) and delicious. Their pancakes were the best I have ever tasted. They were so sweet and chewy. Third, I think we were the luckiest girls on earth: we had the chance to meet an actor from the Walking Dead (if you don’t know the TV show, you really miss something.!) while we were eating. I was just so excited and we asked him for a picture. This actor named Scott Wilson plays Hershel in the show. He was absolutely nice and willing to take a picture with us. We were afraid of bothering him during his lunch but you know how it is: this happens once in a life. I think we aroused his interest because he really wanted to speak with us a little bit. He was probably surprised to meet two French girls in a Nashville restaurant! He proposed us to come to the Horror and Tattoo convention downtown during the afternoon. We bought tickets at the convention center and we got into the big area. We finally figured out that we had to pay 40$ for an autograph and a picture with the actor… Well, at least, we saved money today and we already had our picture!
Coming to Nashville without visiting the Country music Hall of Fame & Museum was not an option. We paid 25$ for one day-pass and then, we had the opportunity to walk into the museum. As a matter of fact, it is really hard to stay focused on each part of the museum because as a French student, I did not know many of the country singers. Some of them are obviously famous worldwide: Elvis Presley or Taylor Swift (two opposites, right!)
We also had a great time visiting the Nashville Farmers’ market with typical farmers from the state. The market is open 362 days a year: ranchers, bakers, soaps, milk or cheese for instance can be purchased from locally-owned and operated businesses who have been in the market for generations. Smells and colors were fantastic.
The last evening we spent in the city was exceptional. We had the opportunity to assist to the Grand Ole Opry, the longest running live radio show about country music, which occurs weekly. As the advertisement says, this show makes the country music famous hence its popularity in the USA.
Everything went well in Nashville: this week end was just fabulous. I really encourage you to visit this capital of Tennessee! (as Johnny said: “on a tous quelque chose en nous de Tennessee!”)
Ca y est ! Vous êtes sélectionné pour un entretien après de multiples envois. Vous allez suivre un processus de sélection généralement à deux étapes: l’entretien RH et l’entretien opérationnel. Le premier permettra au recruteur de repérer si vous êtes capable de vous épanouir au sein de l’entreprise et de mieux comprendre votre parcours, vos attentes et de voir si vous correspondez à l’offre. Si tel est le cas, il transmettra votre candidature au manager. Le deuxième entretien est réalisé afin de vérifier vos compétences techniques et si vous aviez bien compris les enjeux du poste. Il est possible de rencontrer plusieurs opérationnels pour une validation.
Avant tout entretien, relisez attentivement l’offre de stage et étudiez les enjeux et les missions du poste. Rendez-vous sur des plateformes comme Jobteaser regroupant des vidéos métiers ou encore sur les sites internet des entreprises pour en apprendre davantage !
Voici selon moi des questions fréquemment posées en entretien par les recruteurs. Je vous donne des conseils tirés de ma propre expérience. Ces questions nécessitent une préparation pointue afin d’être le plus efficace possible. Elles vous aideront à vous connaître et à être plus à l’aise.
- « Présentez-vous, parlez-moi de votre parcours »
Attention : le recruteur ne s’attend pas à une répétition de votre CV. Il cherche à connaître votre parcours en détails afin de vous connaître et de voir comment vous avez évolué. Cela permet d’avoir rapidement une idée de votre personnalité et de voir si le stage proposé s’inscrit d’une bonne manière au sein de votre parcours. Essayez de suivre votre parcours chronologiquement depuis votre bac et de justifier chacun de vos choix !
- « Si j’interrogeais un ancien patron/maître de stage, quel mot utiliserait-il pour vous décrire ? »
Ne mentez pas: soyez honnête. Ce mot devra être justifier avec un exemple concret tiré de votre expérience. C’est l’occasion de vous valoriser et d’utiliser vos capacités de synthèse.
- « Qu’est-ce que vous ne supportez pas chez les autres ? »
Le recruteur ne cherche pas à entendre des réponses trop personnelles comme « la jalousie », « le racisme ». Non, dans ce cas précis, l’environnement professionnelest concerné. Restez toujours calme et respectueux dans votre réponse. Ne critiquez pas vos anciens collègues. Donnez un exemple du problème rencontré. Cela peut être le manque de professionnalisme, le manque d’ouverture d’esprit, les gens trop réservés etc. A vous de vous remémorer vos expériences et d’en tirer la réponse la plus pertinente.
- « Parlez-moi d’une de vos expériences »
Choisissez une expérience significative qui vous a marqué utile pour l’obtention du stage en question. Il faut toujours être organisé: dans un premier temps détaillez vos missions. Puis, expliquez les qualités mises en avant et enfin, réalisez un court bilan de votre stage: considérez-vous ce stage comme réussi ? Que vous a –t-il appris ? Que feriez vous différemment ? Qu’a pensé votre maître de stage ?
- « Parlez-moi d’une difficulté rencontrée et de la manière dont vous l’avez affrontée »
N’ayez pas peur de parler de ces difficultés. Le tout est de ne pas vous dénigrer et de montrer que vous avez su prendre du recul. Expliquez le résultat: avez-vous réussi à la surmonter ? Si oui, comment ? Si non, expliquez ce que vous changeriez dans votre comportement.
- « Où vous voyez vous dans 5, 10, 15 ans ? »
Les stagiaires sont des viviers de talents intéressants car formés par l’entreprise. Montrez que vous en voulez, que vous êtes ambitieux et que vous savez où vous allez.
- Axes d’amélioration/qualités
Cette question classique s’apparente aux 3 qualités et aux 3 défauts. La réponse doit refléter votre personnalité. Ne vous en inventez pas une : le recruteur sait détecter les mensonges et demandera un exemple concret à chaque fois. Choisissez 3 qualités et 3 défauts qui illustrent votre caractère ! Cependant, si vous êtes peu rigoureux et que vous postulez pour un poste en finance il faudra réussir à bien le justifier… Adaptez-vous un peu sans pour autant vous inventer des atouts.
- « Pourquoi nous ? que connaissez-vous de notre entreprise ? »
Clairement : si vous ne connaissez rien de l’entreprise, n’espérez pas aller plus loin ! C’est la question de base où vous devez montrer que vous n’êtes pas là par hasard. Les sites institutionnels des entreprises sont parfaits pour trouver toutes les informations.
- « Parlez-moi de la création/du projet dont vous êtes le plus fier »
Mettez-vous en avant et comme pour chaque expérience, expliquez de manière organisée pourquoi vous êtes fier de cette réalisation. Il peut s’agir d’un stage ou d’une mission professionnelle (organisation d’évènement, business plan créé en école etc) Il s’agit d’en faire le bilan : pourquoi avoir choisi cette expérience ? Quelles ont été vos réalisations ? qu’en avez vous retiré ?
- « Avez-vous des questions ? »
Il y a toujours des questions à poser en entretien ! Bien évidemment évitez de parler des avantages et rémunération au premier entretien. N’avez-vous pas envie d’en apprendre plus sur l’environnement de travail (Qui sera le manager ? Avec qui allez-vous travailler ? Quelles sont les langues de travail ? Quels sont les enjeux prioritaires du poste ?)
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Cette liste est très loin d’être exhaustive mais elle peut vous permettre de bien vous lancer ! Mes autres conseils seraient de prendre des notes pendant l’entretien et de toujours rester professionnel (ne JAMAIS tutoyer un recruteur même s’il le fait, rester calme, enthousiaste mais pas trop non plus !)
N’oubliez pas qu’un entretien ne se « rate » pas dans le sens où le recruteur ne va pas chercher à vous piéger. Il doit s’agir d’un véritable échange. Il veut simplement déterminer si vous saurez vous épanouir dans ce stage et dans l’entreprise.
Prochain article spécial sur mon expérience personnelle en recherche de césure !
Lorsque vous recherchez une césure, vous avez normalement déjà eu des expériences professionnelles et donc un ancien CV. Je parle d’un CV global avec vos expériences. Première chose à faire : actualisez le !
Repérez ensuite une offre qui vous intéresse. La première chose à savoir est qu’un recruteur recherche un profil très spécifique en postant une offre. Si vous êtes refusé, c’est le plus souvent car votre profil ne correspond pas à ce qui est demandé. Ce n’est pas parce que votre profil est « mauvais ». C’est à vous de savoir ce que vous désirez (voir article précédent : fixer ses objectifs)
Le CV doit être personnalisé. Vous ne pouvez pas TOUT dire et certaines choses ne sont d’ailleurs pas légitimes en fonction de l’offre. Chaque expérience indiquée doit pouvoir se justifier par rapport à l’offre postulée. Souvent il faut également valoriser certaines missions ! Prenons un exemple concret : je postule pour un stage en communication corporate. Je mettrais donc en avant mon travail de groupe sur un plan de communication en école, mon travail sur mon blog et mes capacités rédactionnelles Je ne parlerai pas forcément de mes compétences en évènementiel sur une offre de stage en community management ! Un CV ne doit pas être fourre-tout. Séparez expérience professionnelle et expérience associative si nécessaire.
N’oubliez pas de préciser votre niveau dans chaque langue que vous parlez. Evitez les B1 B2 qui sont, selon moi, peu parlants aux yeux des recruteurs. Soyez précis : niveau courant, niveau opérationnel, niveau débutant, notions… Indiquez vos compétences comme l’informatique (maîtrise, bases, notions…)
Indiquez vers la fin vos hobbies et passions. Les recruteurs n’aiment pas forcément les gens qui n’ont que leur travail. Là encore, soyez logique et réfléchi. Les centres d’intérêt comme « lire des romans, voyages » n’apportent rien. Chaque CV envoyé doit normalement être unique.
Dernier détail: indiquez vos disponibilités sur votre CV. Le recruteur n’aura pas à les chercher partout
La lettre de motivation est un prolongement du CV. Elle n’est pas toujours lue par les recruteurs. Cependant, si votre CV attire son attention, le recruteur lira probablement votre lettre de motivation afin d’en savoir plus. Expliquez brièvement pourquoi cette entreprise vous intéresse. Evitez les phrases du genre « Votre entreprise est leader du secteur… » Les recruteurs le savent bien ! Parlez de choses plus précises qui vous attirent : que pouvez- vous apporter à l’entreprise ? Pourquoi ce secteur ? Développez ensuite les expériences pertinentes pour l’offre et l’entreprise. Soyez précis, clair et organisé dans vos paragraphes.
Mes petits conseils et les faits (presque) évidents
Un CV fait une page maximum pour permettre au recruteur de voir un coup d’oeil vos compétences et expériences. Clarté, précision et unicité… sans mensonges.
Ecrivez dans une police classique. Ne tentez pas les polices fantaisies !
La photon’est pas obligatoire: choisissez en une professionnelle qui vous met en valeur (on oublie les photos de vacances découpées) Je préfère personnellement ne pas en mettre.
Evitez les CV trop colorés : au sein d’une entreprise, les recruteurs impriment les CV en noir et blanc le plus souvent. Si vous ne voulez pas que le vôtre finisse à la poubelle pour cause d’illisibilité, soyez vigilant.
RELISEZ-VOUS plusieurs fois s’il le faut ! Dates, nom de l’entreprise, titre de l’offre, soyez précis. Une faute d’orthographe dans le nom de l’entreprise ruine une candidature. Prenez votre temps: je passe entre une demi heure et une heure sur chacune de mes candidatures afin d’être la plus précise possible.
Soyez organisé: il est probable que vous ne vous souveniez pas de toutes les candidatures envoyées. De plus, les offres sont souvent retirées à la fin de la période de sélection. Ainsi, passer un entretien sur une offre dont vous ne vous souvenez plus serait problématique. Enregistrez-les !
Prochain article sur les entretiens pour les stages de césure…!
PS: ces conseils viennent de moi et de ma propre expérience. Je ne prétends pas détenir toutes les informations pour réaliser un CV parfait
Yesterday was my first initiation as a brother of Delta Sigma Pi. I should tell you that it is an amazing experience to be on the other side… It is less stressful obviously. I have never experimented something like that before. I will not explain to you what is exactly initiation in details because I am not allowed to. Indeed, being a brother is the only way to figure out what is the process to become a brother. That was my first and last initiation as a brother… so emotional! (Business professional attire was required)
I could not stop thinking that I had just one month left here… Time flies. I keep in mind that everything is going to be over soon. American people tend to exaggerate by saying “this is the saddest thing ever!” This time, I totally agree with them… I don’t say that I am not happy to come back home. As a matter of fact, I miss my family and my country. However, this experience has been exceptional and I have learnt so much about me. Anyway, let’s talk about the initiation and stop digressing.
After 12 weeks of pledge process, which means “promesse” in French, the chapter determines if each pledge is ready to become a brother through a voting meeting. A few days after, the ceremony takes place on campus. As far as I am concerned, I got initiated in November during Fall 2013 but not at IUPUI. I missed that ceremony so I got to go on another campus at Bloomington. I was not alone so this experience allowed me to discover a new city! It was still Indiana University but another campus. Business clothes are almost always required as you can see on pictures.
What I can tell, and with a great enthusiasm, is that it is again a new event to meet people and to enjoy your time. I am really glad that I could meet my new brothers. Even if you don’t know them, you are related to each other through the fraternity. That’s it. Everyone depends on you and you depend of them.
After this initiation, we went to a social event mixed with Relay of Life. Relay for Life is a overnight fundraising event dedicated to raise money for cancer research.
The opportunity to share great moments with your brothers and to support a noble cause is real. It lasts 10 hours from 5 pm to 5 am. I stayed a little bit but at midnight, my entire body was exhausted (and frozen!). After my great performance at the Zumba activity at 11:30pm, I almost fell down and then I decided to come back home. The brutal winter in Indianapolis is not totally over!
Having a rich social life makes you feel alive here. All American students are involved in at least one student club. If you have the opportunity to join one of them, wherever you are in the US, grasp it and be really involved. It is the “win win” principle: the more you give, the more you get.